DU BREVET AU BAC

clarisse78 · Age: 30 Inscrit le: 12 Mar 2011 Messages: 28

Bonjour à tous, j'ai un devoir à rendre mardi, le commentaire rédigé de la scène 2 des acteurs de bonne foi de Marivaux.
j'ai réalisé la lecture analytique (un peu longue, je sais, je la synthétiserai évidemment dans mon plan), et dressé un plan (à la toute fin de la lecture analytique). Cependant, je ne suis pas sure qu'il tienne la route, et apprécierai beaucoup d'avoir vos avis.
La problématique aussi me pose qq problèmes...
voici ci-dessous mon travail, destiné à être rédigé:

Marivaux, Les Acteurs de bonne foi, Scène 2

(idées à mettre en avant
-le comique de la scène
-la hiérarchie des perso
-le perso de merlin, ambiguë, a dble tranchant
-le rôle/la fonction du metteur en scène = sa place, son travail, son devoir… ? )

Blaise et colette : une seule réplique ≠ merlin et lisette : 6 et 3 répliques → montre hiérarchie des personnages.
Merlin, + grosses répliques, monopolise la parole en temps et en quantité, montre qu’il mène la scène, qu’il domine.

Les perso s’adressent à Merlin en tant que personne au même titre qu’eux, et celui –ci leur répond dans la peau du metteur en scène. Après tout, metteur en scène c’est peut-être un rôle en soi … ?

1ère réplique : Merlin

Merlin introduit la scène, et c’est lui qui la finit : couvre toute la scène, montre son influence ici, et prend possession de la scène (possessivité)

L.1 « mes enfants » : aspect paternaliste de Merlin (il se place en position de dominance) mais donc aussi de supériorité du metteur en scène sur ses acteurs, de merlin sur blaise, Colette et lisette, auxquels il s’adresse à tous en même temps. Le déterminant possessif « mes » accentue sa possessivité, sur ses acteurs, et notamment sur lisette, sa promise.

L.1 « Montrez-moi » impératif montre autorité du personnage, du metteur en scène (exigent ?) ou encouragement bienveillant.

L.2 « un petit échantillon de votre savoir-faire » : échantillon = une petite partie ; petit échantillon montre que ce n’est là qu’un échauffement, qu’il n’attend pas bcp de ses acteurs, comme s’il les ménageait ou qu’il n’était pas certain de leur potentiel.
Cependant, « savoir-faire » désigne les capacités d’un artisan qui maitrise son ouvrage

L.2-3 « et tâchons de gagner notre argent » :
« et » = conjonction de coordination qui indique l’addition, ou dans ce cas, l’action simultanée de jouer et « gagner [son] argent »
« tâchons » : impératif à la 1ère pers du pluriel : merlin s’implique dans cet action, et donc dans sa pièce dont il est aussi acteur. Effet motivation des troupes reprend l’idée du metteur en scène paternaliste, bienveillant, et ici, pédagogue.
Vb tâcher vient de tâche qui signifie ce que l’on doit faire : notion de devoir
« argent », on retrouve l’importance de l’argent dans le monde du théâtre, à ma foi pour vivre, mais aussi pour financer le théâtre lui-même.

L.3 « le mieux que nous pourront » : le mieux (= le meilleur, ici) = superlatif + vb de capacité à la 1ère pers du pluriel
→ tjr motivation de LA troupe

« : répétons » les deux points indique que ce qui suit est le moyen d’obtenir ce qui précède : pour obtenir de l’argent il faut jouer, et donc répéter. Tjr impératif 1ère pers pluriel.

2ème réplique : Lisette

(Lisette répond à merlin, montre intimité des deux perso, et importance de lisette qui prend la parole juste après merlin.)

L.4 « ce que j’aime dans ta comédie » : rappelle que la pièce est celle de merlin, que c’est une comédie
Comme éloge et donc flatterie de la comédie, et donc flatte merlin ; pck c son amant (pck elle l’aime, pour lui faire plaisir), ou pour se faire bien voir du metteur en scène (fayotte)
Verbe de sentiment montre état d’esprit de lisette à ce moment, et 1ère pers du singulier montre qu’elle donne un avis personnel.

L.5 « nous nous la donnerons à nous-mêmes » redondance du nous (sujet, cod et coi) renforce idée du groupe (soudé ?), de la troupe, dont les membres dépendent les uns des autres.
Vb au futur : Anticipe sans le savoir que merlin se donnera la comédie en regardant lisette et blaise se déchirer pour ce qu’ils croient être vrai. Lisette anticipe cela alors qu’elle est une des victimes de ce marivaudage orchestrée par merlin : effet ironique.

L.5 « car je pense que » (femme qui pense ?! ^^) + a nouveau avis personnel avec « je » et vb « penser » et conjonction de coordination pour justifier 1ère opinion donnée précédemment

L.6 « nous allons tenir de jolis propos » effet comique à nouveau. Ironie pour « de jolis propos » ? nous allons = futur de certitude, alors qu’elle ne sait rien de la pièce qu’ils vont donner.

3ème réplique : Merlin, correspond au discours du metteur en scène à ses acteurs pour préparer scène ou pièce

Réplique longue en 2 phrases seulement ; la première est très longue (de « de très jolis propos » à « et voilà ma pièce ») découpée par les ponctuations « ; » et « , » pour en délimiter les différentes parties et sujets. Montre clarté du projet que merlin a en tête, mais qu’il énonce de façon a embrouiller ses acteurs.

L.7 reprise de la réplique précédente de Lisette avec une insistance : de très jolis propos », donne l’impression qu’il fomente, effet comique

L.7 « car dans le plan de ma pièce » ne dit pas tout simplement « dans ma pièce » montre que la pièce est particulière et susceptible de ne pas se dérouler comme prévu ; ce n’est qu’un « plan »
Déterminant possessif « ma » = égo du metteur en scène qui s’approprie la pièce.

L.8 « vous ne sortez point de votre caractère » …!!!
=> le rôle des personnages de la comédie de merlin nous donnerons des informations sur les personnages, leurs caractéristiques et leur « caractère ».
Les perso sont ensuite énoncés successivement avec leur description.
(le présent utilisé est un présent d’énonciation comme au long de cette réplique, pour une action pas encore déroulée, mais plutôt une indication du metteur en scène. Le temps est comme figé pour lui puisque la scène ne se déroule pas, le temps n’existe pas.)

L.9 « toi, tu joues une maligne soubrette à qui l’on en fait point accroire »
« toi » ≈ apostrophe (dans mise en scène, il désignerait lisette ou se tournerai vers elle de façon significative)
« tu joues » = impératif 2ème pers singulier : il s’adresse maintenant à ses acteurs (mais ici seulement à lisette) au cas par cas, pour leur adresser une consigne, leur rôle, conduite à suivre.
« une maligne soubrette […], et te voilà » donne information sur le caractère véritable de Lisette : intelligente et perspicace, tout en la flattant. Montre aussi estime de Merlin pour elle (merlin <3> effet péjoratif, montre qu’elle est quelconque et modeste. N’associe pas son caractère à Colette, mais la dit défini entièrement par ce critère :
« c’est la même chose » (réducteur) => il ne lui accorde qu’une moindre importance, voir qu’il la méprise, puisqu’elle n’est qu’une « coquette de village ».

L.11-12 « un joli homme et moi, c’est tout un » : fait son propre éloge en se classant dans la catégorie des hommes coquets et à la mode (comique car il n’est, après tout, qu’un valet)

L.13 commence à placer les personnages qu’il vient de décrire dans une intrigue qu’il définie :
« un joli homme est inconstant » présent de vérité général + déterminant indéfini : effet = vu qu’il dit être véritablement un joli homme, il est inconstant par définition, ambigüité réalité/fiction commence, il sème le doute chez lisette et blaise
De même qu’avec :
L.14 « une coquette n’est pas fidèle » (fait allusion à Colette), même procédé que précédemment, dans le même but.

L.14 « : » ponctuation exprime relation cause-conséquence.
L.14 « Colette trahit blaise » proposition simple et courte : sujet, vb, complément dont le vb est fort (terme de trahison ! = hyperbole ?) ! propos dur pour blaise (=>réplique suivante par blaise)

L.14-15 « je néglige ta flamme » - brut de pomme que précédemment, et + poétique pour dire la même chose = euphémisme

L.15 « blaise est un sot » = de + en + méchant, commence déjà à éprouver blaise, ici en le traitant de sot.

L.16 « tu es une diablesse qui t’en met en fureur » présence et rappel du destinataire « tu », il s’adresse tjr a lisette, il parle des autres à la 3ème pers comme sil n’étaient pas là, (méprisant vis-à-vis d’eux, encore une fois, montre supériorité)
« t’en met en fureur » montre caractère fort et colérique de Lisette qui ne se laisse pas aller à la tristesse faiblement comme Blaise mais réagit.

L.16 « et voilà ma pièce. » fin de la première phrase = conclusion et fin de l’explication de l’intrigue à venir.
« ma pièce » une fois de +

L.16 « Oh ! » interjection avec ponctuation expressive traduit enthousiasme du metteur en scène, se lèche les doigts d’avance.

L.17 « je défie qu’on arrange mieux les choses » autosatisfaction

4ème réplique : seule et unique réplique de Blaise. (les autres infos sur lui sont données par les répliques de merlin, et en représentation, par son costume et son attitude physique)

L.18 « Oui » = approbation, nuancée par « ,mais »
« si » (= condition ; dans le cas où…) « ce que j’allons jouer » faute de conjugaison (voir note en bleu) « allait être vrai » tout comme Lisette, Blaise entrevoie un début d’ambigüité qu’il défend tout de suite.

L.19 « prenez garde au moins » ressemble à menace au début (avec impératif, cherche à s’affirmer) mais le « au moins » affaiblit cette détermination, et rend la phrase et le personnage comique et faible (niais)

L.19 « il ne faut pas aller tout de bon » : impératif du début faibli au fur et à mesure : ici il utilise une tournure indirecte comme pour ne pas trop s’engager dans ses paroles, comme si il avait été téméraire et regrettai => faiblesse de blaise (comique comme il se dégonfle)

L.20 « car j’aime Colette, dame ! » donne argument (« car ») pour persuader (donne argument qui implique sentiment « j’aime ») et attendrir plutôt que menacer cette fois (peur ? couardise faiblesse).
Termine par injonction et ponctuation sa réplique pour donner contenance et rehausser son propos. Expression rustique, reprend mauvaise conjugaison et mauvais parlé, pas d’éducation (Un peu ridicule)

Blaise confirme dans sa seule réplique de la scène ce que Merlin a décrit de sa personnalité : il est sot. Ceci contribue à montrer un Merlin qui cerne ses acteurs et les manipule comme il veut puisque il les connaît. (« blaise est un sot qui en pleure »)

5ème réplique : Merlin

L.21 « à merveille ! » ponctuation montre enthousiasme, et « merveille » terme mélioratif.
Merlin se moque totalement de ce que vient de dire blaise et de sa mises en garde. Ne lui réponds même pas.
Cependant, l’encourage !

L.21 « Blaise, » lui parle directement pour la première fois, prononce son prénom en lui parlant comme s’il s’adressait à un enfant, paternaliste, mais agaçant.
L.21-22 « je te demande » donne ordre à son acteurs pour jouer son personnage sans se soucier de son ressenti en tant qu’être humain sensible
« ce ton de nigaud-là dans la pièce. » le ridiculise en lui faisant voir que sa phrase était stupide, et en le traitant de nigaud. Il feint d’être déjà en représentation pour se moquer alors que la réplique de Blaise était sincère, il ne jouait pas.

6ème réplique : Lisette
2 premiers perso qui parlent après annonce intrigue sont les futurs dupés, qui réagissent à ce qu’ils viennent d’entendre, car ont intuition qu’ils vont être les dindons de la farce.

L.23 « écoutez » injonction : Lisette la colérique s’affirme
L.23 « Monsieur le joli homme » se moque clairement, n’apprécie guère ce qu’on lui sert.
L.23 « il a raison » appuie le pauvre blaise qui s’exprime mal et a peu de détermination

L.24 « que ceci ne passe point la raillerie » : « que ceci » (= même forme que les ordres de dieu dans la genèse) = ordre indirect
« la raillerie renvoie à la farce, la comédie qu’ils vont jouer. « ne passe point » signifie rester de l’ordre de ici.

L.24 « car » (conjonction de coordination pour exprimer la raison)
L.24-25 « je ne suis pas endurante, je vous en avertis » montre caractère vif et prompt à s’énerver de lisette. « vous montre son hostilité aussi bien envers Merlin qu’elle tutoie (L.4, « ta comédie ») qu’envers Colette.
« je vous en avertis » est une mise en garde très explicite, et lisette apparaît comme une femme forte et caractérielle. C’est ainsi qu’elle réagit à la provoquaction (« une diablesse qui t’en met en fureur »). Même remarque que pour Blaise a propos de merlin.

7ème réplique : Merlin

L.26 « Fort bien, Lisette ! », même procédé qu’avec Blaise, il la félicite comme une enfant (motivant mais énervant) ponctuation+ « bien »

L.26 « il y a un aigre-doux dans ce ton là » montre qu’il l’a entendu (contrairement à blaise) mais plutôt la forme que le fon. Ne lui réponds pas, ne prend pas en compte ses états d’âme, sa réticence et sa colère. Ne fait rien pour calmer les passions, bien au contraire !!

L.27 « qu’il faut conserver » donne à nouveau directives pour sa pièce (seule chose qui l’intéresse on dirait !)

8ème réplique : (seule et unique de) Colette

L.28 « Allez, allez, Mademoiselle Lisette » encourage aussi l’actrice lisette. C’est la seule actrice de merlin qui n’exprime pas de réticence face à l’intrigue, et va même jusqu’à l’encourager (ambigüité du personnage quant à sa véritable motivation)
L.28 « Mademoiselle Lisette » politesse montre son respect dû envers une personne de rang supérieur. + « vous » L.29

L.29 « il n’y a rien à appriander pour vous » contrairement à Merlin, Colette cherche à calmer les passions, cependant, elle ne rassure en rien son amant… !!
« appriander » défaut de prononciation ou du mot « appréhender » traduit le manque d’éducation et produit un effet comique. (de personnage)

L.29 « car vous êtes plus jolie que moi » cherche à l’amadouer, notion d’envie/jalousie (de sa beauté et de l’amour que lui porte merlin) confirmé par : « Monsieur merlin le sait bien » L.30
Encore une fois le personnage de Colette est ambiguë.

9ème réplique : Merlin

L.31 « Courage, friponne, vous y êtes » merlin encourage Colette comme les autres, mais contrairement aux deux autres qu’il appelle par leur prénom, il l’affuble d’un surnom comme pour marquer une proximité. La vouvoie tandis qu’il tutoie Lisette, son égale au niveau social, et Blaise, de rang inférieur.
Exprime une notion de respect qui n’a pas lieu d’être.
Il ne lui donne ni tord ni raison, comme aux autres, et fait mine d’être déjà dans la comédie => embrouille lisette et blaise ; donne le change avec Colette, et ajoute de l’ambigüité : on ne sait alors si Colette jouait la comédie ou était sincère à ce moment là.

L.32 « c’est dans ce goût là qu’il faut jouer votre rôle » deuxième encouragement + re vouvoiement « il faut » = ordre indirect

L.32-33 « allons, commençons à répéter » ordre collectif, action dans laquelle il s’inclut (1ère pers du pluriel), indique le début de la mise en abîme, du théâtre dans le théâtre. (Ce n’est pas la vraie représentation, ce n’est qu’une répétition.)

10ème réplique : Lisette
L.34 « c’est à nous deux de commencer je crois » : « c’est à nous deux » permet de reconnaitre les personnages qui jouerons la première scène comme lorsqu’on lit : les acteurs présents sont écrit ; car aucun acteurs ne quitteras véritablement la scène. « commencer » s’applique a la pièce de merlin. Et « je crois » montre une incertitude : ce n’est pas lisette qui dirige ici, et elle demande confirmation a merlin.

11ème réplique : Merlin

L.35 « oui, nous sommes la première scène » la comédie commence, préviens le lecteur/spectateur de la 1ère scène, que la comédie commence ; situe dans la pièce, comme si on lisait la pièce, et pour prévenir du début, imperceptible de la pièce.

L.36 « asseyez-vous là vous autres ; » adressé a blaise et Colette qui feront office de spectateurs dans la mise en abîme, mais resteront présents dans la salle. « vous autres » met de la distance entre ceux qui assistent et ceux qui jouent, car il ne sont pas séparés physiquement.

L.36 « et nous, débutons », « nous » désigne lisette et merlin, par opposition au « vous » précédent. « débutons » est à l’impératif présent, et indique une incitation destiné a lisette et lui-même

L.36-37 « tu es au fait, lisette » pose la situation initiale.

L.37-38 didascalie = seule indication scénique de toute la scène !!!

L.38 « tu arrives sur le théâtre » ordre = indication du metteur en scène lors d’une répétition à un acteur ! De même qu L.39-40

L.39 « et tu me trouves rêveur et distrait. » De même, cette indication est destinée au personnage de lisette, et non aux spectateurs, qui le verront bien…

L. 39-40 « Recule-toi un peu pour me laisser prendre ma contenance » effet comique : personnage prétentieux et égocentrique de Merlin.

Problématique : Comment cette scène instaure-t-elle une pièce comique basée sur le marivaudage ?

OU

Quelles sont les fonctions du metteur en scène mises en avant dans cette scène, et comment ?

CHERCHER UN COMPROMIS !!

Ex : Quelles sont les fonctions du metteur en scène mise en avant à travers cette scène comique ?

Peut-on dire de Merlin qu’il est un « bon » metteur en scène ?

Intro

Ex : On peut dire qu’on assiste à la mise en place et aux préparatifs d’une pièce de théâtre comme celles auxquelles on pourrait assister. Pas seulement le théâtre dans le théâtre, mais aussi la face caché du spectacle, celle à laquelle on assiste jamais, puisque on a seulement sous les yeux le résultat, c'est-à-dire la pièce aussi perfectionnée que possible.

I- Rapports de forces

1) Une hiérarchie entre les personnages

* L.1 « mes enfants » : aspect paternaliste de Merlin + il se place en position de dominance par rapport à Blaise, Colette et Lisette, auxquels il s’adresse à tous en même temps. Le déterminant possessif « mes » accentue sa possessivité, sur ses acteurs, et notamment sur Lisette, sa promise.

* L.1 « Montrez-moi » impératif montre autorité du personnage ou encouragement bienveillant ?

*

2) L’effet miroir

II- Une pièce/scène comique…

1) Comique de personnage

* Lisette, Colette et Blaise (parler des futurs dupés qui anticipent leurs malheurs)

* Merlin, un personnage à double tranchant/ambigu/ « dble jeu » (acteurs et metteur en scène ; on ne sait pas qd il parle de comédie et de réalité…)

2) … pleine d’ironie et prometteuse

3) … qui annonce le marivaudage (marivaudage, un des buts du metteur en scène ? = transition)

III- Le rôle du metteur en scène selon Marivaux (ici surtout rapport metteur en scène/acteurs)

1) Le théâtre dans le théâtre (permet d’assimiller Merlin au metteur en scène)

2) Motiver ses acteurs (pédagogie)

- Paternalisme repris par les nombreux impératifs à la première personne du pluriel qui montrent qu’il s’implique dans l’action qu’il impose, et recherche un effet motivateur : L.3 « tâchons » ; « répétons » L.3 ; «

-

3) Rechercher la perfection (avec chercher à mettre ses acteurs dans la peau du perso pour qu’ils ressentent les vraies émotions) (choisir les acteurs et cerner les caractères de ses acteurs pour mieux les placer dans leur rôle)

Conclusion (encore à rechercher)

les parties entre parenthèses sont seulement des notes, elles ne font pas réellement partie de mon plan.

voilà, toutes vos remarques sont les bienvenues, merci d'avance!! Hello

laurencefloder · Age: 29 Inscrit le: 05 Nov 2010 Messages: 315

Bonsoir Clarisse

Je suis impressionnée par ton travail, ton analyse est très bien faite et ton plan tient la route, ne t'inquiète pas. Il faudra biensûr tout mettre en forme dans les axes du plan proposé.

Pour la problématique,

Problématique : Comment cette scène instaure-t-elle une pièce comique basée sur le marivaudage ?

prends la première plutôt que la seconde, elle correspond davantage à l'esprit de l'analyse.

Super travail Cheers

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Laurencefloder

bacfrancais, 2014 · Age: 31 Inscrit le: 25 Mar 2011 Messages: 375

oui, je suis d'accord, l'analyse est très approfondie. Ton plan est très bien, il faut mieux prendre la première problématique. Pour le contenu, il est bien pensé, intelligemment conduit, on voit par conséquent quel contenu au delà des répliques va dans tel ou tel axe.

L'ensemble est très bon mais quel contenu va dans quelle partie? Je pense que tu en es au brouillon et je comprends. Je pense que tu sauras bien mettre le contenu en forme en fonction du plan proposé. L'ensemble est très bien. Very Happy

LucieAwick · Age: 30 Inscrit le: 28 Oct 2010 Messages: 293

lecture intéressante. As tu trouvé ta problématique?

psychédélique, 2013 · Age: 30 Inscrit le: 17 Jan 2011 Messages: 258

Merci pour ton analyse instructive et intelligente. On attend confirmation du choix de ta problématique, ta conclusion et ton ouverture Hello

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Psychédélique
J'invite les visiteurs et les lycéens à me rejoindre sur le livre d'or de prépabac
http://prepabac.e-monsite.com/livredor.html

bélinda · Age: 39 Inscrit le: 18 Déc 2009 Messages: 717

Merci. Garde la problématique première. Fais une bonne ouverture et conclusion et c'est gagné. C'est bien Bounce

_________________
Je ne vous quitte que par la plume mais pas par le coeur

Bélinda

gigi · Age: 32 Inscrit le: 08 Aoû 2010 Messages: 311

bonjour tout le monde

il faut garder la problématique choisie, faire une bonne conclusion avec ouverture et tu es prête. Le gros du travail va quand même être de classer tout le contenu dans les différentes parties du plan

Tiens nous au courant Hello

_________________
C'est moi le meilleur, Gigi le grand!! Non je rigole les amis
Gigi, juste Gigi
Soyez heureux

Prépabac, examen2017 · Lun Avr 25, 2011 10:18 am

Analyse très correcte
Je confirme pour la problématique 1
Ton plan est excellent
Il manque la conclusion et l'ouverture

POint faible : Contenu intéressant et bien analysé mais comment voir la manière dont tu vas l'insérer dans ton plan? As tu déjà réfléchi à la question?

L'analyse est bien mais il faut l'inclure dans les axes respectifs sans débordement et sans faire une étude linéaire. Est-ce le cas? Lol

On attend tes réactions Lol

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Du BREVET AU BAC

clarisse78 · Age: 30 Inscrit le: 12 Mar 2011 Messages: 28

merci à tous pour vos conseils. je mettrai en ligne mon plan détaillé une fois fini.
suite à vos réponses, j'ai donc choisi la première problématique.
je manque d'idées pour l'ouverture, si qq1 a une idée, n'hésitez pas!
merci encore! Very Happy

laurencefloder · Age: 29 Inscrit le: 05 Nov 2010 Messages: 315

bon travail
pour la problématique : pourquoi essayer de voir si la scène est ou non représentative de la suite
qu'en penses tu?
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Laurencefloder