DU BREVET AU BAC Préparation au brevet et au bac de français, philosophie et HLP
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Prépabac, examen2017 Administrateur
Age: 59 Inscrit le: 07 Déc 2009 Messages: 6069 Localisation: versailles
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Sujet: Introduction au contrôle lecture : les Misérables, V. Hugo Dim Fév 05, 2012 12:27 pm |
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Préparation au contrôle de lecture : Les misérables de Victor Hugo
A consulter :
Quizz : les misérables Victor Hugo
http://www.quizz.biz/quizz-7595.html
http://www.enotes.com/les-miserables/quizzes
Introduction au contrôle de lecture, biographie et résumé
http://docremuneres.forumparfait.com/introduction-au-contra-le-lecture-les-misa-rables-v-hugo-vt3656.html
Contrôle de lecture :
Questionnaire sur le tome I
http://docremuneres.forumparfait.com/contra-le-de-lecture-les-misa-rables-partie-1-vt3664.html
Questionnaire sur le tome II
http://docremuneres.forumparfait.com/contra-le-de-lecture-les-misa-rables-ii-questions-a-tude-vt3665.html
Questionnaire sur le tome III
http://docremuneres.forumparfait.com/contra-le-de-lecture-les-misa-rables-iii-questions-a-tude-vt3668.html
Questionnaire sur le tome IV
http://docremuneres.forumparfait.com/contra-le-lecture-les-misa-rables-iv-questions-a-tude-vt3669.html
Questionnaire sur le tome V
http://docremuneres.forumparfait.com/contra-le-de-lecture-les-misa-rables-v-questions-a-tude-vt3670.html
Petite biographie de victor Hugo
Victor Hugo :
Victor-Marie Hugo, né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 22 mai 1885 à Paris, est un écrivain, dramaturge, poète, homme politique, académicien et intellectuel engagé français considéré comme le plus important des écrivains romantiques de langue française et un des plus importants écrivains de la littérature française.
Son œuvre est très diverse : romans, poésie lyrique, drames en vers et en prose, discours politiques à la Chambre des Pairs, correspondance abondante.
Victor Hugo a fortement contribué au renouvellement de la poésie et du théâtre en tant que chef de file du mouvement romantique. Il a aussi permis à de nombreuses générations de développer une réflexion sur l'engagement de l'écrivain dans la vie politique grâce à ses multiples engagements qui le condamneront à l'exil.
Durant son exil, après la rédaction des Contemplations (1856) et de La Légende des siècles (1859), il se remet à l'écriture des Misérables, à Guernesey en 1860. L'ouvrage est terminé et publié en 1862 par l'éditeur Lacroix.
Résumé :
L'action se déroule en France au cours de la première moitié du XIXe siècle, encadrée par les deux grands combats que sont la Bataille de Waterloo (1815) et les émeutes de juin 1832. On y suit, pendant cinq tomes, la vie de Jean Valjean, de sa sortie du bagne jusqu'à sa mort. Autour de lui gravitent les personnages dont certains vont donner leur nom aux différents tomes du roman, témoins de la misère de ce siècle, misérables eux-mêmes ou proches de la misère : Fantine, Cosette, Marius, mais aussi les Thénardier (dont Éponine, Azelma et Gavroche) ainsi que le représentant de la loi Javert.
Jean Valjean et l'évêque. Jean Valjean, un ancien forçat, trouve asile, après une lamentable cours errante, chez Monseigneur Myriel, évêque de Digne. Il se laisse tenter par des couverts d'argent et déguerpit à l'aube. Des gendarmes le reprennent ; mais l'évêque témoigne en sa faveur et le sauve. Cette générosité le bouleverse erse . Il cède à une dernière tentation, puis il devient un honnête homme (I 1 à 4)
M. Madeleine et Fantine. Fantine a été séduite, puis abandonnée avec sa petite fille Cosette Arrêtée à la suite d'une dispute, elle est âprement interrogée par le policier Javert ; mais le maire de la ville M Madeleine, la fait relâcher Cette clémence, déconcertante de la part d'un magistrat confirme le soupçon de Javert : M. Madeleine et Valjean ne font qu'un. Quelques temps plus tard, un malheureux, Champmathieu, est pris pour l'ancien forçat de nouveau recherché. Après un douloureux débat intérieur, le vrai Jean Valjean se fait reconnaître en plein tribunal. Momentanément laissé libre, il assiste à l'agonie de Fantine lui jure de veiller sur Cosette : puis il s'échappe et gagne Paris (I 5 à
Cosette et les Thénardier. Cosette est servante chez le sinistre Thénardier qui fait fortune en détroussant les morts de Waterloo. Jean Valjean a été repris par Javert et réintégré au bagne. Il s'est encore évadé mais tout le monde le croit noyé. Il revient, arrache Cosette au ménage Thénardier, se cache avec elle dans une masure, puis à la communauté de l'adoration Perpétuelle rue de Picpus (II).
L'idylle rue Plumet. Jean Valjean s'installe rue Plumet sous le nom de Fauchelevent. Il lie connaissance avec un jeune républicain Marius, qui aime Cosette. Une fois de plus, arrêté par Javert, il se sauve.
L'épopée rue Saint Denis. En 1832, l'émeute gronde rue St-Denis. Sur la barricade, Jean Valjean lutte avec Marius et le gamin de Paris Gavroche, sous les ordre de l'étudiant Enjolras. L'ancien forçat se voit confier le policier Javert : généreusement, il lui rend sa liberté, puis sauve Marius blessé. Celui-ci guéri, épouse Cosette ; Jean Valjean a rempli,jusqu'au bout sa promesse à Fantine. Quand il meurt, les chandeliers de l'évêque sont allumés à son chevet.
Résumé
http://romantis.free.fr/Victor%20hugo/html/lesmiser.html
Résumé par tome :
Tome I : Fantine
Dans ce tome s'entremêlent les deux destinées de Fantine et de Jean Valjean.
Le livre s'ouvre sur le portrait long et détaillé de monseigneur Myriel, l'évêque du diocèse de Digne, où il vit très modestement en compagnie de sa sœur Baptistine et d'une servante, Madame Magloire. Ce religieux est un juste qui se contente du strict nécessaire pour distribuer le reste de ses économies aux pauvres. Montrant un amour immense, il laisse sa porte grande ouverte et fraternise avec ceux que la société rejette.
Son destin va croiser celui du personnage central de l'œuvre : Jean Valjean.
L'action débute en 1815 par la libération de Jean Valjean, personnage central de l'œuvre après, une peine de dix-neuf ans de bagne : victime d'un destin tragique, initialement condamné à cinq ans de bagne pour avoir volé un pain afin de nourrir sa famille, il voit sa peine prolongée suite à plusieurs tentatives d'évasion. En liberté, son passé de forçat l'accable : ainsi, dans chaque ville qu'il traverse, contraint à faire connaître de la mairie son statut qu'un passeport jaune matérialise, il est universellement rejeté et seul monseigneur Myriel l'accueille pour le gîte et le couvert. Jean Valjean, épris de haine, frappé d'injustice, et peu conscient de ses actes, vole l'argenterie de l'évêque et s'enfuit par la fenêtre. Lorsqu'il est arrêté et ramené par la gendarmerie chez monseigneur Myriel, celui-ci le pardonne et trompe les gendarme en déclarant lui avoir offert son argenterie, le sauvant de la condamnation pour récidive. Il engage Valjean à accepter deux chandeliers supplémentaires contre la vertu et l'intégrité de sa conduite future.
Perdu dans ses pensées, il vole inconsciemment une pièce de 40 sous à un ramoneur savoyard d'une dizaine d'années nommé Petit Gervais en recouvrant la pièce de son pied et en chassant l'enfant. Souffrant de remords, incapable de rattrapper Petit Gervais, il prend conscience de lui-même et au cours d'une épiphanie, résoud à honorer sa promesse à l'évèque Bienvenu. Le vol rapporté aux autorités, désormais récidiviste, il est recherché par la police, risquant la prison à vie, il doit cacher son identité.
Changé par cet épisode dans les Alpes, Jean Valjean reparaît à l'autre bout de la France, sous le nom de M. Madeleine et opère sa complète rédemption : enrichi honnêtement, il devient le bienfaiteur de la ville de Montreuil-sur-Mer, dont il est élu maire.
Symétriquement à l'ascension de Jean Valjean, à son rachat pourrait-on dire, on assiste à la chute de Fantine, fille-mère qui, pour nourrir sa fille unique Cosette, ira de déchéance en déchéance, jusqu'à la prostitution et la mort.
Ce tome est l'occasion de présenter les personnages qui vont suivre Jean Valjean du début à la fin de ses aventures.
Les Thénardier, qui plongeront de la malhonnêteté et la méchanceté ordinaire au banditisme, à la fois dénoncés comme criminels et plaints comme victimes de la société. Ils sont cependant aussi les parents de Gavroche, dont l'héroïsme s'illustrera plus tard.
Javert, qui incarne la justice implacable et rigide, qui a mis toute son énergie au service de la loi, sa religion.
Peut-on croire Valjean-Madeleine sauvé, réintégré dans la société ? Victor Hugo ne le veut pas. Pour lui, l'honnêteté ne peut souffrir la compromission. Aux termes d'une longue nuit d'hésitation (tempête sous un crâne), M. Madeleine ira se dénoncer pour éviter à un pauvre diable, un peu simple d'esprit, Champmathieu, d'être condamné à sa place. Tous les bienfaits qu'aurait pu apporter M. Madeleine ne pourraient compenser, selon Victor Hugo, la seule injustice faite à Champmathieu. Jean Valjean échappe cependant à la justice, retourne dans la clandestinité pour respecter une dernière promesse : sauver Cosette actuellement pensionnaire asservie et malheureuse des Thénardier.
Tome II : Cosette
Dans ce tome, deux livres encadrent l'action, l'un est consacré à la bataille de Waterloo et l'autre à la vie monacale.
Victor Hugo aborde le second tome des Misérables par la bataille de Waterloo qui s'est déroulée 7 ans plus tôt. Le lien avec l'intrigue est très ténu : Thénardier aurait « sauvé » le père de Marius à l'issue de cette bataille. Sous ce prétexte dramatique léger, Victor Hugo place là une réflexion qui lui tient à cœur sur la bataille de Waterloo, bataille qui voit la chute d'un personnage qu'il admire, Napoléon 1er. Depuis longtemps, Victor Hugo est hanté par cette bataille. Celle-ci lui inspirera le poème L'Expiation du livre V des Châtiments. Il a refusé à plusieurs reprises de se rendre sur les lieux et c'est seulement en 1861 qu'il visite le champ de bataille et c'est là qu'il termine ce récit épique.
La Parenthèse (avant-dernier livre) que constitue la réflexion sur la vie monacale, la foi et la prière, pour surprenante chez un révolutionnaire comme Victor Hugo, se présente comme une profession de foi. Réquisitoire violent contre l'Église carcan, c'est aussi une apologie de la méditation et de la foi véritable. « Nous sommes pour la religion contre les religions. », précise Victor Hugo.
Le reste de ce tome est consacré à la traque de Jean Valjean. Victor Hugo met dans ce récit toutes ses qualités de romancier dramatique au service d'un suspense prenant, avec rupture de rythme, changement de focalisation. Alternance de période d'accalmie (avec Cosette à Montfermeil, puis à la maison Gorbeau) et de poursuite haletante.
Échappant à Javert à la fin du tome I, Jean Valjean est rattrapé à Paris, mais a eu le temps de mettre de côté une forte somme d'argent. Envoyé aux galères, il s'en échappe, retourne chercher Cosette et se réfugie à Paris dans la masure Gorbeau. Javert le retrouve et le poursuit la nuit à travers les rues de Paris. Jean Valjean ne trouve son salut que dans le couvent du Petit-Picpus sous la protection de M. Fauchelevent, un charretier dont il a sauvé la vie à Montreuil-sur-Mer. Après un épisode dramatique de fausse inhumation, Jean Valjean s'installe au couvent avec Cosette sous le nom d'Ultime Fauchelevent. Victor Hugo présente un Jean Valjean sublime : la chute ne lui a pas fait perdre les qualités morales qu'il possédait en tant que M. Madeleine : c'est en sauvant un matelot de la noyade qu'il s'échappe des galères ; c'est à cause de sa générosité qu'il est repéré par Javert. On pourrait cependant reprocher à Victor Hugo des ficelles dramatiques un peu grosses : le croisement sur le champ de bataille de Thénardier et du père de Marius ou encore la rencontre miraculeuse et opportune de Jean Valjean et du père Fauchelevent.
Tome III : Marius
L'action se déroule entre 1830 et 1832. Le père Fauchelevent est mort. Jean Valjean et Cosette, alors âgée de 15 ans, ont quitté le couvent. Le tome s'ouvre et se referme sur le personnage de Gavroche. Victor Hugo se lance dans une longue digression sur le gamin de Paris, âme de la ville dont la figure emblématique est Gavroche, fils des Thénardier, mais surtout garçon des rues.
Victor Hugo axe tout le tome sur la personne de Marius en qui il se reconnaît jeune. Il avouera même avoir écrit avec Marius ses quasi-mémoires29. On y découvre Marius, petit-fils d'un royaliste, fils d'un bonapartiste, qui choisit son camp à 17 ans, quitte son grand-père et fréquente les amis de l'ABC, groupe de révolutionnaires idéalistes, et côtoie la misère.
Son destin croise celui de Cosette dont il tombe amoureux. On peut remarquer à ce sujet la tendresse de Victor Hugo décrivant avec humour et dérision ses premiers émois amoureux. Faisant fi de toute vraisemblance dramatique, Victor Hugo provoque la rencontre de Jean Valjean alias Madeleine - Fauchelevent - Leblanc - Fabre avec Thénardier alias Jondrette - Fabantou - Genflot sous les yeux d'un Marius témoin invisible de la confrontation, dans cette même masure Gorbeau rencontrée au tome II. Superbe face-à-face de deux personnages aux noms multiples qui se cachent de la justice, mais dont l'un est descendu jusqu'au fond de l'infamie tandis que l'autre accède à la noblesse morale. Toute la fin du tome est digne des Mystères de Paris avec bande de voleurs et d'assassins, guet-apens, victime prise en otage et menacée, intervention de la police et apparition de Javert. Marius découvre ainsi que le sauveur de son père est un infâme bandit et que le père de celle dont il est amoureux se cache de la police.
Tome IV : L'idylle rue Plumet et l'épopée rue Saint-Denis
Toute l'action de ce tome est sous-tendue par l'émeute de juin 1832 et la barricade de la rue Saint-Denis. Victor Hugo estime même que c'est en quelque sorte là le cœur du roman30. Le premier livre replace les évènements dans le contexte historique de la situation insurrectionnelle à Paris au début de l'année 1832.
Ensuite se déroulent en parallèle plusieurs vies qui vont converger vers la rue de la Chanvrerie. Victor Hugo précise d'abord le personnage d'Éponine, amoureuse déçue de Marius, ange du bonheur quand elle confie à Marius l'adresse de Cosette ou quand elle défend le domicile de celle-ci contre l'attaque de Thénardier et sa bande, ange du malheur quand elle cache à Marius la lettre de Cosette ou quand elle l'envoie sur la barricade. Éponine martyr de l'amour quand elle intercepte la balle destinée à Marius et qu'elle meurt dans ses bras.
L'auteur renoue ensuite avec le parcours de Jean Valjean et Cosette depuis leur entrée au couvent du Petit-Picpus. On assiste à l'éclosion de Cosette. À la remarque de la prieure du couvent, « Elle sera laide31 » répond l'observation de Toussaint « Mademoiselle est jolie32 ». Grâce aux informations d'Éponine, l'idylle entre Cosette et Marius peut reprendre rue Plumet, initiée par une lettre d'amour (un cœur sous une pierre) et se poursuit jusqu'au départ précipité de Jean Valjean et Cosette pour la rue de l'Homme-Armé.
Victor Hugo complète ensuite le personnage de Gavroche, gamin des rues, spontané et généreux, capable de gestes gratuits (la bourse volée à Montparnasse et donnée à Mabeuf, l'aide apportée à l'évasion de son père). On le découvre aussi paternel et responsable quand il recueille dans l'éléphant de la Bastille les deux gamins perdus dont il ignore qu'ils sont ses frères.
Tous les protagonistes de l'histoire, ou presque, convergent alors vers la rue de la Chanvrerie et la barricade de la rue Saint-Denis : les amis de l'ABC par conviction révolutionnaire, Mabeuf et Marius par désespoir, Éponine par amour, Gavroche par curiosité, Javert pour espionner et Jean Valjean pour sauver Marius.
Tome V : Jean Valjean
La cinquième partie est celle de la mort et de l'effacement. Mort des insurgés sur la barricade qui a commencé à la fin du tome précédent par celle d'Éponine et de M. Mabeuf et qui se poursuit par celle de Gavroche puis par l'anéantissement de la barricade. Jean Valjean se situe comme un ange protecteur : ses coups de feu ne tuent personne, il se propose pour exécuter Javert, mais lui permet de s'enfuir et sauve Marius au dernier instant de la barricade.
Le sauvetage épique s'effectue par les égouts de Paris (l'intestin de Léviathan) que Victor Hugo décrit avec abondance. Échappant aux poursuites et à l'enlisement, Jean Valjean sort des égouts grâce à Thénardier, mais pour tomber dans les filets de Javert. Marius, sauvé, est reconduit chez son grand-père.
On assiste ensuite au suicide de Javert et à l'effacement de Jean Valjean. Javert en effet relâche Jean Valjean alors qu'il le raccompagnait, en reconnaissance du fait que Jean Valjean l'avait sauvé lors de l'attaque de la barricade, mais ce faisant Javert ne supporte pas d'avoir manqué à son devoir de policier scrupuleux, devoir qui lui impose de ne pas relâcher un suspect pour raison personnelle, ce qu'il a néanmoins fait. Ne pouvant supporter ce grave manquement à son devoir, et d'avoir remis en cause le principe supérieur qu'est pour lui l'obéissance à la hiérarchie, il décide de mettre fin à ses jours en se jetant dans la Seine (chapitre Javert déraillé — titre d'avant-garde pour l'époque).
L'idylle entre Marius et Cosette se concrétise par un mariage. Jean Valjean s'efface peu à peu de la vie du couple, encouragé par Marius qui voit en lui un malfaiteur et un assassin. Marius n'est détrompé par Thénardier que dans les dernières lignes du roman et, confus et reconnaissant, assiste avec Cosette aux derniers instants de Jean Valjean.
Résumé wikipédia
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