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 DU BREVET AU BAC :: AIDE EN LIGNE :: Therese Raquin de Zola, fin ch.2, commentaire bac

Therese Raquin de Zola, fin ch.2, commentaire bac

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Manzana





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MessageSujet: Therese Raquin de Zola, fin ch.2, commentaire bac  Posté leSam Fév 02, 2013 7:01 pm Répondre en citant

Bonjour , j'ai un commentaire a faire pour demain sur un texte de Therese Raquin de Zola et franchement je suis completement larquée . Je n'arrive meme pas a trouve un plan convenable . Voila pourquoi je viens demander de l'aide sur le forum .

Le texte est delimité "Mme Raquin regardait ses enfant avec une bonté sereine .... entra dans celle de son cousin, qui etait a droite"

Voila pour l'instant mon plan :

1- Relation de Therese et Camille
a- Caractere de Camille
b- Caractere de Therese
c- Une relation fraternelle

2- Un mariage atypique
a- La decision de Mme Raquin
b- Leur relation selon elle
c- L'indifference du couple face a cette union


Toute aide sera la bienvenue etant donné que je suis un peu baumé ... voila
Merci d'avance !

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Manzana





Inscrit le: 30 Déc 2012
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MessageSujet: Therese Raquin de Zola, fin ch.2, commentaire bac  Posté leSam Fév 02, 2013 7:03 pm Répondre en citant

Je precise egalement que cet extrait est tiré de la fin du chapitre 2 du roman

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Prépabac, examen2017
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MessageSujet: Therese Raquin de Zola, fin ch.2, commentaire bac  Posté leSam Fév 02, 2013 7:28 pm Répondre en citant

Avec de bons arguments, ce plan peut tenir. Il faut biensûr les trouver Lol Study
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Du BREVET AU BAC

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Manzana





Inscrit le: 30 Déc 2012
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MessageSujet: Therese Raquin de Zola, fin ch.2, commentaire bac  Posté leSam Fév 02, 2013 7:41 pm Répondre en citant

Pouvez vous m'aider svp , non pas me le faire mais seulement me donner des pistes .... parce ca fais plusieurs heures que je suis dessus et j'arrive toujours pas a trouver quelques chose

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Sylviane,bacphilo, L




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MessageSujet: Therese Raquin de Zola, fin ch.2, commentaire bac  Posté leSam Fév 02, 2013 7:55 pm Répondre en citant

Ok pour ton plan

si tu n'y arrives pas c'est que tu n'as pas bien lu ton texte alors tu le relis encore et encore en soulignant les idées.

Tu décortiques, tu classes tes idées, en fonction de ton plan et tu cites

Lire, relire, comprendre, décortiquer, poser les idées et citer

A toi

Réfléchis bien Lol

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Manzana





Inscrit le: 30 Déc 2012
Messages: 92

MessageSujet: Therese Raquin de Zola, fin ch.2, commentaire bac  Posté leSam Fév 02, 2013 8:21 pm Répondre en citant

j'ai effectué quelques relevés

-Mme Raquin prend seule la decision de ce mariage et l'impose a ses enfants " Elle avait resolu de les marier"

-Champs lexicale de la mort " mourrait", "moribond" et de la fatalité "fatal" met en evidence l'essence du tragique

-Mme Raquin considerait Therese comme "un ange gardien" , une "garde vigilente" . Elle voyait en Therese une seconde mere pour son fils

-Ce mariage entierement planifié par Mme Raquin etait un " denouement prévu, arrete" qui rassuré la mere et, selon elle, assurerait le bien etre de son fils

- Cette union sonne comme une obligation pour les principales concernés " devaient s'epouser"

-Camille et Therese restaient indifferent face l'idée arreté de leur mariage comme s'ils n'aivaient enfaite pas reellement le choix " necessaire, fatal" , "familier, naturelle"

-Camille et Therese indiferent , se contente d'obeir au odre de Mme Raquin " Et ils attendaient paciemment"

-"sans fiere, sans rougeur" soulignant une nouvelle fois l'indifference des 2 cousins

-La comparaison " Il l'embrassait comme il embrassait sa mere" confirme le statue maternel de Therese dans cette union

Qu'en pensez vous ?

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Sylviane,bacphilo, L




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MessageSujet: Therese Raquin de Zola, fin ch.2, commentaire bac  Posté leSam Fév 02, 2013 8:23 pm Répondre en citant

Ok, vas-y fais ton analyse en confiance et surtout colle bien au texte et classe tes idées en fonction des axes de ton plan.

Lire et relire, souligner le texte, une couleur différente par idée par exemple etc


BOn courage Hello

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jean sébastien bac STT




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MessageSujet: Therese Raquin de Zola, fin ch.2, commentaire bac  Posté leSam Fév 02, 2013 8:46 pm Répondre en citant

Petit complément et rappel



Thérèse Raquin : un roman naturaliste



Thérèse Raquin est le troisième roman de l'écrivain français Émile Zola publié en 1867. L'auteur en tirera lui-même une pièce de théâtre en 1873. Le roman fait connaître l'écrivain au public parisien et présente déjà les caractéristiques du naturalisme développé plus tard dans le cycle des Rougon-Macquart.




Thérèse Raquin est la fille d'une algérienne et d'un capitaine militaire francais dans l'armée algérienne, Degans, posté en Algérie.Suite à la mort de la mère de Thérèse, Degans confie l'enfant à sa soeur Madame Raquin et se fait tuer un peu plus tard en Afrique. Thérèse finit par être mariée à son cousin Camille, qui par ailleurs la dégoute et la répugne. Celui-ci souhaite aller vivre à Paris et travailler dans une administration. Madame Raquin trouve une boutique et un appartement au passage du Pont-Neuf. Tous les jeudis soirs, les Raquin reçoivent Laurent,peintre et ami d'enfance de Camille. C'est ainsi que Thérèse rencontre Laurent et entame une liaison secrète avec lui. Au bout de quelques mois de liaison, Laurent et Thérèse se mettent en tête de tuer Camille pour ne plus vivre leur idylle secrètement. C'est alors qu'au cours d'une balade en bateau sur la Seine que Laurent noie Camille et maquille le meurtre en un accident. Un an et demi plus tard, Thérèse est mariée à Laurent. Cependant, le remords des amants a dissous leur amour, et le fantôme de Camille les hante.

Madame Raquin devient paralysée et muette. Thérèse et Laurent ne se soucient pas d'elle et évoquent le meurtre en sa présence. Leur mariage tourne mal et Laurent se met à frapper Thérèse. Thérèse décide de tuer Laurent avec un couteau quand celui-ci se procure du poison pour tuer Thérèse. Quand ils découvrent mutuellement leurs intentions, ils se suicident sous les yeux de Madame Raquin, toujours assise aux côtés des jeunes amants.




Dans Thérèse Raquin, j'ai voulu étudier des tempéraments et non des caractères. Là est le livre entier. J'ai choisi des personnages souverainement dominés par leurs nerfs et leur sang, dépourvus de libre arbitre, entraînés à chaque acte de leur vie par les fatalités de leur chair. Thérèse et Laurent sont des brutes humaines, rien de plus »1.

Tempérament nerveux1, mariée à un homme maladif, Thérèse ne peut satisfaire les désirs que lui dictent sa nature. La rencontre avec Laurent, tempérament sanguin1, devait inévitablement la pousser à cette passion criminelle qui se termine en tragédie. Émile Zola, tel un naturaliste rendant compte d'une expérience de laboratoire, ne fait que noter avec précision les étapes de la métamorphose de Thérèse et de Laurent au contact l'un de l'autre1.

Émile Zola peint dans ce roman le Paris de cette époque et surtout la vie, les sentiments de Thérèse Raquin, sa passion, ses tourments. La description d'un dépôt mortuaire est un document traumatisant du naturalisme. Plus que tout, Thérèse Raquin se veut une analyse des effets de la confrontation entre des personnages de caractère différent. Émile Zola réussit avec brio à illustrer les effets du déterminisme appliqués à la psychologie, particulièrement en ce qui concerne Thérèse et Laurent.

L'œuvre d'Émile Zola, Thérèse Raquin, est expérimentale. Cette œuvre fait partie de ses premiers romans naturalistes. Ses personnages sont sujets à des expériences; il installe ces personnages dans un environnement spécifique tel que le « passage du Pont Neuf », milieu sombre, froid, petit, ayant une influence sur les personnages et les poussant à commettre certains actes. De cette manière, il développe sa théorie sur le déterminisme.Ce roman, inspiré de théories scientifiques, mêle également le réalisme, le fantastique et le tragique. Ce roman reste malgré tout très artistique et très travaillé littérairement. Il décrit certains lieux, tel un peintre impressionniste; le « lieu du crime » en est un exemple. Il y a un peu de fantastique dans cette œuvre comme les apparitions du spectre de Camille. Malgré toutes ces résurgences fantastiques, Émile Zola garde ses réflexes de scientifique et en profite pour décrire le comportement de deux personnages qui sombrent dans la folie.


Wikipédia
http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9r%C3%A8se_Raquin





Naturalisme


Crée en même temps que le romantisme (De Balzac au Stendhal), le réalisme ne prend vraiment sous essort que dans la période 1850-1900 (par Flaubert et Maupassant) et se retrouve dans le naturalisme crée par Zola.

1) Réalisme et Naturalisme (à travers l'histoire)

- Les romans emprunts de réalisme s'identifient à l'époque traversée: des révolutions de 1848 (qui se retrouve dans "L'Education sentimentale" de Flaubert, du coup d'état de L-N Bonaparte (conteste de "La Fortune des Rougon" de Zola) ou de la politique stable du 2ème Empire (1852 à 1870).
-Les Années 1850-1900 virent la vraie naissance du capitalisme moderne: Zola le décrit à travers les grands magasins dans "Au bonheur des dames" paru en 1883, et à travers la bourse dans "l'Argent" paru en 1891. C'est une époque de fortes évolutuions tant sociales (naissance de la classe ouvrière) que urbaines (à travers le Paris du Préfet Haussmann).
-C'est enfin le grand moment du positivisme, qui use de l'expérience scientifique comme fondement à tout savoir. Les romanciers écrivent aussi sur des avancéesen médecine et en psychologie, Maupassant disserte sur la folie ("Le Horla" en 1887), les frères Goncourt s'expriment sur l'hystérie féminine ("Germine Lacerteux" en 1865), ou encore Zola sur les valeurs de l'hérédité, servant de base à ses "Rougon-Macquart" (de 1871 à 1893), période romanesque sous titrée "Histoire Naturelle et social d'une famille sous le second Empire".

2) Les clés du réalisme et du naturalisme:


-Les principes généraux de la vision réaliste naissent chez Balzac qui crée, avec "La comédie Humaine" le roman total, vrai "concurrence à l'Etat-civil" (préambule de 1842) et chez Stendhal qui crée le roman assimilé à "une glace qui déambule sur une grande-route" ("Le Rouge et le Noir" en 1830). Les 2 écrivains affirment retranscrire la réalité de manière fidèle.
-Le mot "réalisme survient, au début de manière péjorative pour enfin définir une nouvelle création de description, constituée autour de Gustave Courbet. Plus tard, Champfleury et Duranty se l'approprient en littérature en affirmant l'objectivité sur base romantique, et ses qualités de description. Le réalisme n'est cependant qu'au second plan comme courant en littérature: et même Flaubert, pourtant son affirmé (Chef de file, ne se disait-il pas comme non-réaliste.
-Par contre, le naturalisme a bien représenté une école littéraire, avec les frères Goncourt et Zola ("Thérése Raquin", en 1867, puis les "Rougon Macquart" à partir de 1871). Les écrits de ce dernier écrivain, Le Roman d'expérience (en 1880) et les Romanciers (1881) apportent leur fondement au naturalisme; ils revendiquent un réalisme extrémiste par leur expérimentation du modèle scientifique. Ils s'attirent toutefois des avis mesurés, chez Maupassant (exemple: la préface de "Pierre et Jean", en 1887) ou chez Huysmans "exemple: la préface de "A retours", en 1903).

3) Les genres réalistes et naturalistes:


- Le roman est le genre le plus retenu: on estime qu'il décrit le mieux la réalité. Balzac avec "La Comédie Humaine", et Zola , avec les "Rougon-Macquart" racontent de grandes épopées familiales, empreintes de social et d'histoire. Contrairement aux romantiques avec le roman sur fond d'histoire, les réalistes et les naturalistes s'intéressent eux au présent et tirent leur inspiration de la vie réelle (Stendh écrit aussi son roman "Le Rouge et le Noir" en se basant sur un fait divers relaté dans un journal).
-Le descriptif a une grande importance, car il permet de décrire la réalité: il repète les "petits faits avérés" (Stendhal) et cela donne un effet de réalité.
-Enfin, se focaliser dans ce genre de romans, autorise des effets complexes, entre narrateur présent en permanence, image du démuirge qui crée tout un monde (Balzac), et le "se focaliser" propre à Zola, qui permet au narrateur de se dissimuler derrière ses personnages.

4) Les Thèmes réalistes et naturalistes:

-Le réalisme s'attaque d'abord au romantisme, qu'on accuse d'éloigner de la réalité. Flaubert dans "Madame Bovary", décrit les effets néfastes de l'illusion romantique sur l'héroisme de son roman).
Par contre, réalistes et naturalistes revendiquent la réalité des villes, politique et sociale. Les héros de ces romans sont ordinaires, qu'ils soient de la classe bourgeoise de Flaubert ou de la classe ouvrière de Zola- Zola décrit aussi, dans les "Rougon-Macquart" le monde des prostituées, l'alcool et le crime.
-C'est la réalité que les romans décrivent. C'est pourquoi le réalisme a souvent été qualifié d' inesthétique et parfois même manquant de moralité et apportant la subversion: en 1857; un procés a même été intenté contre Flaubert "Madame Bovary" sous l'accusation suivante: "Atteinte à la morale des gens et aux bonnes moeurs".
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prepabac,philo 2018
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MessageSujet: Therese Raquin de Zola, fin ch.2, commentaire bac  Posté leSam Fév 02, 2013 11:03 pm Répondre en citant

Lecture du chapitre 2



Mme Raquin regardait ses enfants avec une bonté sereine. Elle avait résolu de les marier ensemble. Elle traitait toujours son fils en moribond; elle tremblait lorsqu'elle venait à songer qu'elle mourrait un jour et qu'elle le laisserait seul et souffrant. Alors elle comptait sur Thérèse, elle se disait que la jeune fille serait une garde vigilante auprès de Camille. Sa nièce, avec ses airs tranquilles, ses dévouements muets, lui inspirait une confiance sans bornes. Elle l'avait vue à l'oeuvre, elle voulait la donner à son fils comme un ange gardien. Ce mariage était un dénoûment prévu, arrêté.

Les enfants savaient depuis longtemps qu'ils devaient s'épouser un jour. Ils avaient grandi dans cette pensée qui leur était devenue ainsi familière et naturelle. On parlait de cette union, dans la famille, comme d'une chose nécessaire, fatale. Mme Raquin avait dit: « Nous attendrons que Thérèse ait vingt et un ans. » Et ils attendaient patiemment, sans fièvre, sans rougeur.

Camille, dont la maladie avait appauvri le sang, ignorait les âpres désirs de l'adolescence. Il était resté petit garçon devant sa cousine, il l'embrassait comme il embrassait sa mère, par habitude, sans rien perdre de sa tranquillité égoïste. Il voyait en elle une camarade complaisante qui l'empêchait de trop s'ennuyer, et qui, à l'occasion, lui faisait de la tisane. Quand il jouait avec elle, qu'il la tenait dans ses bras, il croyait tenir un garçon; sa chair n'avait pas un frémissement. Et jamais il ne lui était venu la pensée, en ces moments, de baiser les lèvres chaudes de Thérèse, qui se débattait en riant d'un rire nerveux.

La jeune fille, elle aussi, semblait rester froide et indifférente. Elle arrêtait parfois ses grands yeux sur Camille et le regardait pendant plusieurs minutes avec une fixité d'un calme souverain. Ses lèvres seules avaient alors de petits mouvements imperceptibles. On ne pouvait rien lire sur ce visage fermé qu'une volonté implacable tenait toujours doux et attentif. Quand on parlait de son mariage, Thérèse devenait grave, se contentait d'approuver de la tête tout ce que disait Mme Raquin. Camille s'endormait.

Le soir, en été, les deux jeunes gens se sauvaient au bord de l'eau. Camille s'irritait des soins incessants de sa mère, il avait des révoltes, il voulait courir, se rendre malade, échapper aux câlineries qui lui donnaient des nausées. Alors il entraînait Thérèse, il la provoquait à lutter, à se vautrer sur l'herbe. Un jour, il poussa sa cousine et la fit tomber; la jeune fille se releva d'un bond, avec une sauvagerie de bête, et, la face ardente, les yeux rouges, elle se précipita sur lui, les deux bras levés. Camille se laissa glisser à terre. Il avait peur.

Les mois, les années s'écoulèrent. Le jour fixé pour le mariage arriva. Mme Raquin prit Thérèse à part, lui parla de son père et de sa mère, lui conta l'histoire de sa naissance. La jeune fille écouta sa tante, puis l'embrassa sans répondre un mot.

Le soir, Thérèse, au lieu d'entrer dans sa chambre, qui était à gauche de l'escalier, entra dans celle de son cousin, qui était à droite.
_________________
Intervenant en philosophie
Lycée, séries générales et technologiques
http://www.dubrevetaubac.fr/


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