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 DU BREVET AU BAC :: LECTURES ANALYTIQUES ET COMMENTAIRES :: V. Hugo, En marchant le matin, étude de seconde

V. Hugo, En marchant le matin, étude de seconde

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MessageSujet: V. Hugo, En marchant le matin, étude de seconde  Posté leJeu Mar 28, 2013 3:08 pm Répondre en citant

Commentaire, Victor Hugo, copies de seconde



En marchant le matin

Puisque là-bas s'entr'ouvre une porte vermeille,
Puisque l'aube blanchit le bord de l'horizon,
Pareille au serviteur qui le premier s'éveille
Et, sa lampe à la main, marche dans la maison,

Puisqu'un blême rayon argente la fontaine,
Puisqu'à travers les bois l'immense firmament
Jette une lueur pâle et calme que la plaine
Regarde vaguement,

Puisque le point du jour sur les monts vient d'éclore,
Je m'en vais dans les champs tristes, vivants et doux ;
Je voudrais bien savoir où l'on trouve une aurore
Pour cette sombre nuit que nous avons en nous !

Que fait l'homme ? La vie est-elle une aventure ?
Que verra-t-on après et de l'autre côté ?
Tout frissonne. Est-ce à moi que tu parles, nature,
Dans cette obscurité ?





Victor HUGO, recueil Les quatre vent de l'esprit, 17 mars 1854.





Devoir d' Hicham D. :




Le Romantisme, mouvement ayant marqué la première moitié du XIXème siècle, prone pour l’exaltation du Moi et des sentiments forts. Victor Hugo, auteur du recueil Les quatres vents de l’esprit, est un auteur phare de ce mouvement. ‘‘En marchant le matin’’, poème appartenant à ce recueil et écrit vers la fin de la vie de l’auteur, exprime deux grandes thématiques romantiques : le lyrisme douloureux et le passage du temps.




Principalement axé sur la vieillese de l’auteur, le lyrisme évoquant la douleur est caractérisé par une certaine amertume du poète. Son mal de vivre est, dans un premier temps, exprimé par une allitération en [m] dans les deux première strophes. Les mots ‘‘vermeille’’ (v.1), ‘‘premier’’ (v.3), ‘‘main’’ (v.4), ‘‘marche’’ (v.4), ‘‘maison’’ (v.4), ‘‘blême’’ (v.5) ou encore ‘‘immense’’ (v.6) le prouvent. Ils imitient ainsi un certain mal de vivre du poète. De même, l’assonance en [ <if><endif>] reprend cette même lourdeur comme l’illustre les mots ‘‘horizon’’ (v.2), ‘‘maison’’ (v.4), ‘‘rayon’’ (v.5), ‘‘monts’’ (v.9), ‘‘on’’ (v.11), ‘‘sombre’’ (v.12), ‘‘avons’’ (v.12) ou bien également ‘‘on’’ (v.14). Par ailleurs, l’auteur utilise un champ lexical fondé sur des couleurs pâles, permettant ainsi de renforcer sa tristesse comment l’attestent les mots ‘‘blême’’ (v.5) et ‘‘pâle’’ (v.7). Enfin, l’utilisation d’alexandrins, vers longs et amples, permet de faire ressentir l’amertume du poète, et par extension le lyrisme douloureux qu’il cherche à prouver.
Parallèlement à cette lourdeur se dégage une exaltation de sentiments forts. En effet, le poète éprouve des sensations intenses, comme une grande frayeur de la mort. Victor Hugo, arrivé vers la fin de sa vie, relate ces frissons par le biais d’allitérations en [f] et [v] : ‘‘s’entr’ouvre’’ (v.1), ‘‘vermeille’’ (v.1), ‘‘serviteur’’ (v.3), ‘‘s’éveille’’ (v.3), ‘‘fontaine’’ (v.5), ‘‘travers’’ (v.6), ‘‘firmament’’ (v.6), ‘‘vaguement’’ (v.Cool. Ces sonorités miment l’effroi qu’expérimente l’auteur, et contribuent à l’expression de sentiments forts. On retrouve également la présence de ponctuation forte, tels que des points d’exclamation au vers 13 ou des points d’interrogation aux vers 13. 14 ou 16, et d’allitérations fortes en [p] et [b] qui illustrent la souffrance du poète. Les termes ‘‘puisque’’ (v.1), ‘‘là-bas’’ (v.1), ‘‘porte’’ (v.1), ‘‘blanchit’’ (v.2), ‘‘bord’’ (v.2), ‘‘premier’’ (v.3), ‘‘lampe’’ (v.4), ‘‘blême’’ (v.5) ou bien encore ‘‘bois’’ (v.6) marquent par leur intensité, et illustrent ainsi les sentiments intenses du poète.
Outre cela, le poète projette cette sensation sur la nature. Il en fait dans un premier temps mention, comme le montrent les termes ‘‘fontaine’’ (v.5), ‘‘bois’’ (v.6), ‘‘monts’’ (v.9) ou encore ‘‘champs’’ (v.10) avant de partager ses sentiments avec elle comme le montrent les expressions ‘‘la plaine/regarde vaguement’’ (v.7-Cool, ‘‘les champs tristes’’ (v.10), ‘‘Est-ce à moi que tu parles, nature ?’’ (v.15). Le poète personnifie ainsi la nature en lui attribuant ses propres sensations, lui fait partager sa douleur, et même va jusqu’à lui demander conseil. Sa peine étant tellement grande, il sollicite l’aide de la nature, et contribue ainsi à l’expression de sa souffrance.



Cette souffrance provient bien de l’âge du poète. Pour lui, le temps a passé beaucoup trop vite. La fuite du temps est en fait la raison principale de sa peine. En effet, il regrette que ce temps lui soit passé entre les doigts tellement il a été rapide. Il exprime le passage de sa vie, et même de la vie en général grâce à de nombreuses expressions. Le mot ‘‘éclore’’ (v.9) représente la naissance tandis que ‘‘je m’en vais’’ (v.10) représente la mort. L’auteur insiste sur ces différentes étapes en allant jusqu’à personnifier la nature et créer un rythme ternaire : ‘‘les champs tristes, vivants et doux’’ (v.10). La tristesse représente en réalité la vieillesse, voire la mort, tandis que la douceur représente la naissance et l’enfance alors que ‘‘vivants’’ représente l’âge adulte, qui se trouve bel et bien au milieu de la vie. La succession du jour et de la nuit, représentée par les mots ‘‘aube’’ (v.2), ‘‘jour’’(v.9), ‘‘aurore’’ (v.11), ‘‘nuit’’ (v.12) ou bien encore ‘‘matin’’ (dans le titre) exprime également le déroulement de la vie. Cette succession est elle-même mimée par la structure du poème, à savoir les rimes croisées qui imitent tantôt le jour, tantôt la nuit. De plus, la présence d’héxasyllabes aux vers huit et seize provoque une accélération du rythme par rapport aux alexandrins, et représente ainsi la fuite du temps qui passe trop vite. Ce déroulement de la vie reprend lui même de manière globale cette thématique.
Ainsi, face à un passage beaucoup trop rapide dans ce monde, l’Homme se retrouve impuissant face au temps. Il essaye tant bien que mal de l’arrêter, de l’affronter, en vain. Il devient alors fataliste, et s’interroge alors sur la vie comme l’exprime l’anaphore de ‘‘Puisque’’ (v.1,2,5,7 et 9), elle-même complétée par l’omniprésence d’interrogations dans la dernière strophe. Elles sont en réalité issues de la peur de l’auteur par rapport à la mort. Il s’interroge sur celle-ci au vers quatorze : ‘‘Que verra-t-on après et de l’autre côté ?’’ et en éprouve même des frissons, comme il le mentionne au vers quinze : ‘‘Tout frissonne’’. Impuissant face à l’écoulement du temps, il exprime la peur qu’il éprouve face à la fuite de ce dernier.
Par ailleurs, le poète cherche à représenter continuellement la mort, pensée qui l’obsède. Il la dépeint comme la nuit, et la vie, le jour. Tout au long du poème, il imite le déclin du jour en parlant de ‘‘l’aube’’ (v.2) et de ‘‘l’aurore’’ (v.11) dans un premier temps, suivi d’un ‘‘blême rayon’’ (v.5), puis d’une ‘‘lueur pâle’’ (v.7) pour enfin laisser place à la nuit, à la mort : ‘‘sombre nuit’’ (v.12) suivi d’‘‘obscurité’’ (v.16). La disparition progressive du jour et l’apparition de la nuit représente en fait la vie qui s’éteint progressivement suivie de l’arrivée de la mort, incontournable. Il y a bel et bien opposition entre le début du poème, rempli de couleurs et de joie comme l’illustrent les termes ‘‘vermeille’’ (v.1), ‘‘blanchit’’ (v.2) et ‘‘argente’’ (v.5) et la fin du poème où l’anaphore de ‘‘je’’ (v.10 et 11) et de ‘‘que’’ (v.13 et 14) ainsi que des questions répétées du poète qui miment alors une certaine inquiètude, voire une suffocation précédant la mort. L’opposition entre les deux est alors frappante, mais ne fait qu’imiter la vie et la mort, deux extrêmes distincts, séparés uniquement par le fil du temps, qui passe beaucoup trop vite et relie dangereusement l’un à l’autre.



Finalement, la fuite du temps, qui effraie beaucoup l’auteur, le pousse bien vers un lyrisme douloureux et intense, ce qui caractérise ainsi de manière importante ces deux grandes thématiques appartenant au Romantisme. De nombreux auteurs reprennent également ces thèmes tels que Lamartine par exemple, mais, à force d’être répétées dans les écrits, elles laisseront place au Réalisme, mouvement qui cherchera à aller à l’encontre d’elles. Les descriptions seront alors moins lyriques et intenses, mais plus semblables à la vérité.



Hicham D., 2nde section internationale, lycée international de Valbonne Sophia-Antipolis, mars 2009.




Devoir de Claire J. :






Le Romantisme est le mouvement littéraire du XIXème siècle. Ses principales thématiques sont l’exotisme, le lyrisme, la fuite du temps ainsi que la nature. Victor Hugo est l’un des maîtres de ce mouvement littéraire, notamment grâce à de nombreux recueils tels que Les Quatre Vents de l’Esprit, dont est issu le texte à commenter. « En marchant le matin » est écrit par l’auteur dans l’une des dernières années de sa vie. Ce poème est axé sur le lyrisme douloureux exprimé par l’auteur ainsi que la nature, qui sert de cadre aux multiples pensées de Victor Hugo.



En premier lieu, nous retrouvons tout au long de ce poème un lyrisme omniprésent, caractérisé par les interrogations intimes de Victor Hugo sur le sens de la vie et de la mort. Tout d’abord, on peut remarquer à la strophe 4 la présence de questions existentielles et métaphysiques. L’auteur n’attend pas de réponses à ces interrogations intimes, ce qui renforce la présence du lyrisme douloureux dans ce poème. La conjonction de subordination « puisque » mise en anaphore aux vers 1, 2, 5,6 et 9 nous montre la présence d’une question implicite à laquelle l’auteur essaie de répondre. Celui-ci s’interroge sur l’utilité de l’Homme et donc, par conséquent, de son rôle personnel ainsi que de son avenir dans ce monde. Le balancement binaire au vers 14 « après et de l’autre côté » ainsi que l’anaphore de « que » aux vers 13 et 14, renforcent l’insistance du poète sur sa double interrogation de la vie et de la mort. Le poème est axé sur les pensées intimes et le Moi personnel de Victor Hugo que l’on retrouve tout au long du texte, comme l’attestent l’anaphore de « je » aux vers 11 et 12 : « je voudrais bien savoir où l’on trouve une aurore pour cette sombre nuit que nous avons en nous », ce qui prouve que le poète cherche en vain une réponse à ses supplications désespérées. La présence des mots interrogatifs « où » (v11) et « que » (v 13, 14) renforce la double interrogation de l’auteur, grande thématique du lyrisme douloureux.
De plus, le lyrisme douloureux exprimé par le poète est renforcé grâce à un parallélisme flagrant entre la vieillesse et la mort de l’auteur, que celui-ci sent ou espère proche. On peut par ailleurs remarquer que le texte à commenter a été publié en 1881, soit quatre ans avant la mort de Victor Hugo. Ce parallélisme est mis en évidence par la parisyllabité des alexandrins. On peut aussi retrouver aux vers 8 et 16 des hexasyllabes, alors que le reste du poème est composé d’alexandrins, ce qui montre une accélération du rythme du poème, illustrant la pensée intime de l’auteur, c’est-à-dire que sa jeunesse (ainsi que sa vie) est passée trop vite par rapport à sa vieillesse qui s’éternise. On peut également noter de nombreuses antithèses, formées des mots « sombre nuit » (v12), « obscurité » (v16) qui s’opposent aux mots « aube » (v2), « lampe » (v4), « argente » (v5) et « aurore » (v11). On peut en déduire que sa vieillesse actuelle est morne et sans espoir par rapport à une jeunesse flamboyante et emplies de succès divers. L’envie de quitter le monde humain renforce l’omniprésence du lyrisme douloureux dans ce texte.
Le lyrisme douloureux du poète est en outre mise en évidence par une intensité remarquable du désespoir du poète, comme l’atteste la très forte ponctuation à la strophe 4 « ? » et « ! » au vers 12 du texte. On peut également remarquer une allitération en [r] tout au long du poème avec « entr’ouvre » (v1), « marche » (v4), « rayon » et « argente » au vers 5, « regarde » (vCool, « éclore » (v9), ce qui est la figure de style pour exprimer le râle douloureux et continu du poète. On peut par ailleurs noter deux assonances en [З] : « fait » (v13), « est » (v13), « après » (v14), que l’on interprète comme une répétition assourdissante du désespoir de l’auteur qui n’en finit jamais. Les nombreuses anaphores citées précédemment insistent encore plus sur le caractère intense du désespoir du poète, ce qui rentre dans la thématique du lyrisme douloureux.



Le lyrisme est un des facteurs dominant de ce texte, tout comme la nature qui apporte elle aussi une dimension romantique à ce poème. En second lieu, nous allons étudier l’importance du cadre naturel dont le poète se sert pour exprimer ses pensées. En effet, la nature a une très grande place dans ce texte. On le sait notamment grâce à un champ lexical de la nature, constitué des mots suivants, « bois » (v6), « firmament » (v6), « plaine « (v7), « monts » (v9), « champs » (v10), « nature « (v15), qui prouve l’omniprésence de la nature dans ce poème. Victor Hugo s’adresse même directement à elle aux vers 15 et 16 : « est-ce à moi que tu parles, nature, dans cette obscurité ? ». Il lui donne des pouvoirs humains et donc la personnifie. Il lui pose des questions, dont il n’a jamais parlé à personne, comme citée précédemment. Il la place donc au-dessus de la condition humaine. Il utilise également des formes valorisantes pour désigner des éléments qui appartiennent à celles-ci, notamment grâce à l’hyperbole : »immense firmament » au vers 6. On retrouve aussi une allitération en [v] récurrente dans ce texte de Victor Hugo, comme l’attestent les mots : «vient » (v9), « vais » (v10), « vivants » (v10), « voudrais » (v11), « trouve » (v11), « avons » (v12). On peut l’interpréter comme le souffle du vent au-dessus de la tête de Victor Hugo, ou bien de la verdure qui l’entoure. Une deuxième allitération en [p] vient alimenter la thématique de la nature dans le poème : « porte » (v1), « puisque » mise en anaphore de nombreuses fois, « pareille » (v3), « premier » (v3), « lampe » (V4), « pâle » (v7), « plaine » (v7), qui nous fait penser aux plaines et aux plantes. Ces deux allitérations rentrent parfaitement dans le cadre de la nature, mais sont encore renforcées par un champ lexical de la lumière et de la couleur : « vermeille » (v1), « aube » (v2), « lampe » (v4), « blême » (v5), « argente » (v5), « firmament » (v6), qui font également partie du contexte de la nature, accordé par Victor Hugo dans ce texte. L’importance de la nature est ici un facteur dominant de ce poème, qui s’inscrit dans la perspective d’un cadre naturel important pour la réflexion de l’auteur.
Pour finir, la thématique de la nature est renforcée par la projection des sentiments de Victor Hugo sur la nature environnante. En effet, l’auteur de ce texte dit qu’il est dans une impasse et qu’il veut en sortir, tout cela explicitement bien sûr. On peut alors remarquer que Victor Hugo dit se trouver dans l’obscurité, comme le montrent les mots : « cette sombre nuit » (v12) et « obscurité » (v16) et recherche le moyen d’en sortir : « vermeille » (v1), « aube » (v2), « s’éveille » (v3), « blême » (v5), « lueur pâle » (v7), mais ce ne sont que des couleurs pâles et dérisoires qui proviennent de la nature, incapables de le sortir de la monotonie de son existence et de sa morosité. On comprend donc que Victor Hugo fait transparaître ses sentiments sur la nature, qu’il trouve à ce moment de la fin de sa vie, pâle et sans éclat. Il ne trouve aucun attrait à sa vie. On peut également relever l’antithèse formée des mots « aurore » (v17) et « sombre nuit » (v18), ce qui renforce le contraste entre la nature parfois belle mais devant laquelle il ne sera jamais en admiration à cause de ses états d’âme et de sa tristesse. La projection des sentiments de Victor Hugo sur la nature s’inscrit dans une thématique de la nature récurrente, qui sert de cadre aux pensées de l’auteur de ce texte.



« En marchant le matin », écrit par Victor Hugo et publié en 1881, soit 4 ans avant la mort de celui-ci, est un poème romantique axé sur le lyrisme douloureux et la nature environnante. Les Quatre Vents De L’Esprit ainsi que d’autres recueils poétiques placent Victor Hugo à la hauteur de poètes tels Chateaubriand, Lamartine et de Vigny, poètes phares de ce mouvement littéraire monumental du XIXème siècle.




Claire J., 2nde section internationale, lycée international de Valbonne Sophia-Antipolis, mars 2009.



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