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 DU BREVET AU BAC :: AIDE EN LIGNE :: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..

Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..

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Auteur Message
Jorgy




Age: 30
Inscrit le: 02 Juin 2011
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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leVen Juin 03, 2011 12:32 am Répondre en citant

Citation:
Ce fut le 12 octobre 1759 que frère Berthier(35) alla, pour son malheur, de Paris à Versailles avec frère Coutu, qui l’accompagne ordinairement. Berthier avait mis dans la voiture quelques exemplaires du Journal de Trévoux(36),pour les présenter à ses protecteurs et protectrices; comme à la femme de chambre de madame la nourrice, à un officier de bouche, à un des garçons apothicaires du roi, et à plusieurs autres seigneurs qui font cas des talents. Berthier sentit en chemin quelques nausées; sa tête s’appesantit: il eut de fréquents bâillements. « Je ne sais ce que j’ai, dit-il à Coutu, je n’ai jamais tant bâillé. — Mon révérend père, répondit frère Coutu, ce n’est qu’un rendu. — Comment! que voulez-vous dire avec votre rendu? dit frère Berthier. — C’est, dit frère Coutu, que je bâille aussi, et je ne sais pourquoi, car je n’ai rien lu de la journée, et vous ne m’avez point parlé depuis que je suis en route avec vous. » Frère Coutu, en disant ces mots, bâilla plus que jamais. Berthier répliqua par des bâillements qui ne finissaient point. Le cocher se retourna, et les voyant ainsi bâiller, se mit à bâiller aussi; le mal gagna tous les passants: on bâilla dans toutes les maisons voisines. Tant la seule présence d’un savant a quelquefois d’influence sur les hommes!

Cependant une petite sueur froide s’empara de Berthier. « Je ne sais ce que j’ai, dit-il, je me sens à la glace. — Je le crois bien, dit le frère compagnon. — Comment, vous le croyez bien! dit Berthier; qu’entendez-vous par là? — C’est que je suis gelé aussi, dit Coutu. — Je m’endors, dit Berthier. — Je n’en suis pas surpris, dit l’autre. — Pourquoi cela? dit Berthier. — C’est que je m’endors aussi », dit le compagnon. Les voilà saisis tous deux d’une affection soporifique et léthargique, et en cet état ils s’arrêtèrent devant la porte des coches(37) de Versailles. Le cocher, en leur ouvrant la portière, voulut les tirer de ce profond sommeil; il n’en put venir à bout: on appela du secours. Le compagnon, qui était plus robuste que frère Berthier, donna enfin quelques signes de vie; mais Berthier était plus froid que jamais. Quelques médecins de la cour, qui revenaient de dîner, passèrent auprès de la chaise; on les pria de donner un coup d’oeil au malade: l’un d’eux, lui ayant tâté le pouls, s’en alla en disant qu’il ne se mêlait plus de médecine depuis qu’il était à la cour. Un autre, l’ayant considéré plus attentivement, déclara que le mal venait de la vésicule du fiel, qui était toujours trop pleine; un troisième assura que le tout provenait de la cervelle, qui était trop vide.

Pendant qu’ils raisonnaient, le patient empirait, les convulsions commençaient à donner des signes funestes, et déjà les trois doigts dont on tient la plume étaient tout retirés, lorsqu’un médecin principal, qui avait étudié sous Mead(3Cool et sous Boerhaave(39), et qui en savait plus que les autres, ouvrit la bouche de Berthier avec un biberon, et, ayant attentivement réfléchi sur l’odeur qui s’en exhalait, prononça qu’il était empoisonné.

A ce mot tout le monde se récria. « Oui, messieurs, continua-t-il, il est empoisonné; il n’y a qu’à tâter sa peau, pour voir que les exhalaisons d’un poison froid se sont insinuées par les pores; et je maintiens que ce poison est pire qu’un mélange de ciguë, d’ellébore noire, d’opium, de solanum, et de jusquiame. Cocher, n’auriez-vous point mis dans votre voiture quelque paquet pour nos apothicaires? — Non, monsieur, répondit le cocher; voilà l’unique ballot que j’y ai placé par ordre du révérend père. » Alors il fouilla dans le coffre, et en tira deux douzaines d’exemplaires du Journal de Trévoux. « Eh bien, messieurs, avais-je tort? » dit ce grand médecin.

Tous les assistants admirèrent sa prodigieuse sagacité; chacun reconnut l’origine du mal: on brûla sur-le-champ sons le nez du patient le paquet pernicieux, et les particules pesantes s’étant atténuées par l’action du feu, Berthier fut un peu soulagé; mais comme le mal avait fait de grands progrès, et que la tête était attaquée, le danger subsistait toujours. Le médecin imagina de lui faire avaler une page de l’Encyclopédie dans du vin blanc, pour remettre en mouvement les humeurs de la bile épaissie: il en résulta une évacuation copieuse; mais la tête était toujours horriblement pesante, les vertiges continuaient, le peu de paroles qu’il pouvait articuler n’avaient aucun sens: il resta deux heures dans cet état, après quoi on fut obligé de le faire confesser.

Deux prêtres se promenaient alors dans la rue des Récollets: on s’adressa à eux. Le premier refusa: « Je ne veux point, dit-il, me charger de l’âme d’un jésuite, cela est trop scabreux: je ne veux avoir à faire à ces gens-là, ni pour les affaires de ce monde, ni pour celles de l’autre. Confessera un jésuite qui voudra, ce ne sera pas moi. » Le second ne fut pas si difficile. « J’entreprendrai cette opération, dit-il; on peut tirer parti de tout. »

Aussitôt il fut conduit dans la chambre où le malade venait d’être transporté; et comme Berthier ne pouvait encore parler distinctement, le confesseur prit le parti de l’interroger. « Mon révérend père, lui dit-il, croyez-vous en Dieu? — Voilà une étrange question, dit Berthier. — Pas si étrange, dit l’autre; il y a croire et croire: pour s’assurer de croire comme il faut, il est nécessaire d’aimer Dieu et son prochain; les aimez-vous sincèrement ? — Je distingue, dit Berthier. — Point de distinction, s’il vous plaît, reprit le confessant; point d’absolution si vous me commencez par ces deux devoirs. — Eh bien! oui, dit le confessé, puisque vous m’y forcez, j’aime Dieu, et le prochain comme je peux.


Relation de la maladie, de la confession, de la mort, et de l'apparition de Jésuites

I. Une relation. ( suppose le fait d'un récit réel )

● Indices de réalité : Date précise, même année que l'écriture du texte, journal Tréloux ( réel )
● Contexte spécial : Paris, Versailles.
● Tableau de la cours ( beaucoup de personnel ), univers hiérarchisé.
● Satire de la médecine de l'époque.
● Référence à Mead et Boeurhaave dans un texte polémique : ces indices identifient clairement les cibles visées : l'ordre des jésuites, la cour, les médecins.

II. Un texte satirique.

● Choix des personnages.
●Mise en scène.

III. La progression du récit.

Une histoire démonstrative : même symbtome, même discours.
Mise en scène du bâillement qui se propage et qui enchaine la contamination de la maladie. La mise en scène des symbtomes de la maladie les critiques de Versailles sur les personnages.
Berthier est frappé sur tous les organes du corps qu'il utilise pour faire du mal aux autres. Les médecins défilent, les premiers refusent de le soigner, Les seconds utilisent des remèdes fantaisistes alors qu'ils se disent avoir étudié la médecine.

C'est un récit court pour être démonstratif. Présentation de la situation. ( en 7 lignes )
Le narrateur ne donne que les détails importants.
On voit tout de suite les personnages en action, en train de dialogué. ( Berthier et frère Couture )
Le narrateur ne donne que les détails importants pour la suite de l'histoire.
Rapide dialogue.
L'auteur procède par allusion, étape de la confession du malade. Série de petits dialogue qui révèle les tords de Berthier : Il est malade de « méchanceté »

Voilà la deuxième étude de texte qui est incomplète. J'éspète que vous pourrez m'aider. Merci d'avance. Smile

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lancelot




Age: 37
Inscrit le: 13 Avr 2011
Messages: 32

MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leVen Juin 03, 2011 10:35 am Répondre en citant

bonjour


je trouve que ce texte a déjà les idées essentielles, je t'invite à faire l'effort de proposer une introduction et de citer pour chaque idée, une conclusion biensûr et en fait ton étude est terminée.

Un effort serait bien de ta part, on attend donc ton introduction, tu annonces le plan, présentes l'auteur. En plus on t'a donné les éléments biographiques hier.

Introduction donc ce qui ne devrait pas être trop difficile
Tu cites ensuite pour les idées du développement

Au travail, tu as déjà toutes les données et on t'a fait tout ton texte hier pour te faire voir. Tu as un effort à faire.

Tu postes ton travail à la suite de ce message et on te reprendra.

Study

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popeye




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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leVen Juin 03, 2011 10:50 am Répondre en citant

bonjour

tu as donc un travail à faire. Je suis d'accord avec Lancelot en un sens car tu as l'important. Il te suffit de citer et de compléter ton analyse par une introduction. on est malgré là pour t'aider et on te réorientera après avoir lu ton brouillon.

A tout à l'heure Cheers
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salut tout le monde, à très bientôt les amis
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Popeye, un ami qui vous adore

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Jorgy




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Inscrit le: 02 Juin 2011
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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leVen Juin 03, 2011 12:07 pm Répondre en citant

Bonjour;

Pour le développement, je ne vois pas ce que je dois citer justement.. Je trouve que ce qu'on a fait est cours pour tenir 10minutes. Surtout le II. qui n'est pas développer.

Pour l'introduction;
Voltaire a été l'un des plus prolifiques philosophe du 18e siècle, époque des lumières, en devenant chef du partie philosophique. Grand défendeur de la tolérence religieuse, il écrivit de nombreuses oeuvres pour affirmer ses opinions dont "Relation de la maladie, de la confession, de la mort, et de l'apparition de Jésuites", parut en 1759. Le titre de ce texte nous annonce les étapes que le personnage principal va traverser. On peut alors penser que Voltaire va critiquer à travers ces étapes de la mort vu par les catholiques la religion, un thème qui lui est chèr.
Annonce du plan.

Problématique : Je n'en ai pas, mais cà n'est pas grave puisqu'on me la donne le jour du BAC, si ?

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Prépabac, examen2017
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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leVen Juin 03, 2011 12:10 pm Répondre en citant

tu peux essayer de reprendre les idées de ton texte en citant le texte car dans ton étude, il n'y au pas de citat°.

Cela te permet d'approfondir et de justifier tes idées.

Annonce ton plan et pose une problématique

Il faut encore une conclusion et une ouverture. On te laisse réfléchir un peu, c'est ce que l'on va te demander le jour de l'oral.

On te reprendra plus tard.

A tout de suite.
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Jorgy




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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leVen Juin 03, 2011 12:39 pm Répondre en citant

Voltaire a été l'un des plus prolifiques philosophe du 18e siècle, époque des lumières, en devenant chef du partie philosophique. Grand défendeur de la tolérence religieuse, il écrivit de nombreuses oeuvres pour affirmer ses opinions dont "Relation de la maladie, de la confession, de la mort, et de l'apparition de Jésuites", parut en 1759. Le titre de ce texte nous annonce les étapes que le personnage principal va traverser. On peut alors penser que Voltaire va critiquer à travers ces étapes de la mort vu par les catholiques la religion, un thème qui lui est chèr.
Annonce du plan.

Problématique : ..


I. Une relation. ( suppose le fait d'un récit réel )

● Indices de réalité : Date précise "12 Octobre 1759", même année que l'écriture du texte, journal Tréloux ( réel )
● Contexte spécial : Paris, Versailles.
● Tableau de la cours ( beaucoup de personnel ), univers hiérarchisé. "frère Couture", "frère Berthier", des médecins de la cour, deux prêtres.
● Satire de la médecine de l'époque; les médecins ne veulent pas soigner n'importe qui, comme les jésuites. ( pourquoi ? )
● Référence à Mead et Boeurhaave dans un texte polémique : ces indices identifient clairement les cibles visées : l'ordre des jésuites, la cour, les médecins.

II. Un texte satirique.

● Choix des personnages.
●Mise en scène.

III. La progression du récit.

Une histoire démonstrative : même symbtome, même discours.
Mise en scène du bâillement qui se propage et qui enchaine la contamination de la maladie. Baillement, puis sueur froide, vertige, à du mal à articuler.
La mise en scène des symbtomes de la maladie les critiques de Versailles sur les personnages.
Berthier est frappé sur tous les organes du corps qu'il utilise pour faire du mal aux autres. Les médecins défilent, les premiers refusent de le soigner, Les seconds utilisent des remèdes fantaisistes alors qu'ils se disent avoir étudié la médecine. "lui faire avaler une page de l'Encyclopédie dans du vin blanc"

C'est un récit court pour être démonstratif. Présentation de la situation. ( en 7 lignes )
Le narrateur ne donne que les détails importants.
On voit tout de suite les personnages en action, en train de dialogué. ( Berthier et frère Couture )
Le narrateur ne donne que les détails importants pour la suite de l'histoire.
Rapide dialogue.
L'auteur procède par allusion, étape de la confession du malade. Série de petits dialogue qui révèle les tords de Berthier, "j'aime Dieu, et le prochain comme je peux" : Il est malade de « méchanceté »


Conclusion : Voltaire était déiste. Cela signifie qu'il croyait en une antité spirituelle sans pour autant adhérer à la religion révélée avec tout ce que cela suppose, c'est-à-dire, la confession, la prière ....
On peut donc affirmer que dans ce texte il encourage la foi sans pour autant sombrer dans les préjugés de la religion qu'il dénonce comme avec le "Journal de Trévoux" qui est cencé être la cause des douleurs du frère Berthier.
Ce texte dénonce ainsi l'ordre établit par les jésuites.

Ouverture; Est-ce que dans chacun de ses apologues Voltaire dénonce les mêmes choses ?

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gigi




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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leVen Juin 03, 2011 2:21 pm Répondre en citant

Il faut que tu cites, c'est à dire que tu dois joindre l'expression ou les expressions du texte qui justifie(nt) l'idée avancée

ProblématiqueS :
en quoi est-ce un texte satirique?
En quoi l'argumentation se met-elle au service de la dénonciation?

Quelques notes à rajouter : I -

il écrit sous forme de pamphlets pour attaquer les jésuites comme dans ce texte La Relation de la maladie du jésuite Berthier.

C'est un conte donc l'enchainement des faits est relativement rapide
L'intérêt est maintenu pour le lecteur par le narrateur

L'obstacle du récit : le diagnostic du médecin
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C'est moi le meilleur, Gigi le grand!! Non je rigole les amis
Gigi, juste Gigi
Soyez heureux

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Prépabac, examen2017
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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leVen Juin 03, 2011 3:01 pm Répondre en citant

Merci à toi Gigi pour ton aide


II. Un texte satirique.

● Choix des personnages.
●Mise en scène.


Il faut rajouter ce qui suit et citer, donc trouver dans le texte ce qui justifie ce que tu avances.


Il s'agit d'une attaque dirigée contre un ennemi particulier et qui désigné :

L'ennemi : les jésuites

Il faut mettre en avant la chute de l'intervention des médecins et préciser, cela va de soi que le journal de Trévoux est la cause du mal, le poison
Il y a vraiment une mise en scène . A décrire et à préciser Lol
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Jorgy




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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leVen Juin 03, 2011 3:18 pm Répondre en citant

II.

● Choix des personnages;
-Frère Berthier, jésuite qui tombe malade de méchanceté.
-Frére Coutu, jésuite qui suit frère Bertier comme toujours, "ordinairement".
-Les médecins de la cours, qui donne des raisons très scientifique de la cause de la maladie de frère Berthier, "cervelle trop vide" "vésicule de fiel". Voltaire tourne en ridicul ces médecins qui veulent se montrer supérieur aux autres. Le dernier médecin pense avoir trouvé le mal de frère Berthier: il avait avec lui une "douzaine d'exemplaires du Journal de Trévoux". Le médecin dit que ces livres sont la causes de son poison; ce qui montre le ridicul des préjugés religieux.

● Pour la mise en scène, je ne vois pas du tout.. Ils sont sur des chaises ? ..

Je ne comprend pas pourqoi le diagnostic du médecin est un obstacle au récit.. Mmmh'.

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bacfrancais, 2014




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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leVen Juin 03, 2011 3:22 pm Répondre en citant

bonjour les amis

vous êtes déjà au travail, on avait dit dans l'après midi et vous avez commencé ce matin

Autre idée à rajouter selon moi :

Les philosophes prennent une revanche contre les jésuites : Voltaire prend l'exemple du médecin anglais, il représente le progrès scientifique contre l'obscurantisme des trois médecins. Cet combat contre l'obscurantisme est un thème récurrent chez Voltaire.

Il met donc en évidence le progrès scientifque.

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Jorgy




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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leVen Juin 03, 2011 3:26 pm Répondre en citant

Le progrès scientifique ? Je ne suis pas sûr.. Dans ce texte, les médecins avancent des hypothèses étranges quand même. Pareil pour les techniques employés pour le soigner.

Dites moi si je me trompe. Smile

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Prépabac, examen2017
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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leVen Juin 03, 2011 3:26 pm Répondre en citant

Jorgy a écrit:
II.

● Choix des personnages;
-Frère Berthier, jésuite qui tombe malade de méchanceté.
-Frére Coutu, jésuite qui suit frère Bertier comme toujours, "ordinairement".
-Les médecins de la cours, qui donne des raisons très scientifique de la cause de la maladie de frère Berthier, "cervelle trop vide" "vésicule de fiel". Voltaire tourne en ridicul ces médecins qui veulent se montrer supérieur aux autres. Le dernier médecin pense avoir trouvé le mal de frère Berthier: il avait avec lui une "douzaine d'exemplaires du Journal de Trévoux". Le médecin dit que ces livres sont la causes de son poison; ce qui montre le ridicul des préjugés religieux.

● Pour la mise en scène, je ne vois pas du tout.. Ils sont sur des chaises ? ..

Je ne comprend pas pourqoi le diagnostic du médecin est un obstacle au récit.. Mmmh'.





le poison c'est le journal de Trévoux
le contre poison, une page de l'encyclopédie

La raison donc les philosophes l'emportent sur l'obscurantisme et la bêtise

*** Relis le texte Lol
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Jorgy




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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leVen Juin 03, 2011 3:37 pm Répondre en citant

Ahhhh. D'accord je viens de comprendre. :p

En quoi la mise en scène est importance ? Parce que là.. Je vois pas du tout.

Pour les personnages satiriques, je devrais parler de qui ? Des médecins ? Je ne vois pas comment mettre cà en forme..

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Prépabac, examen2017
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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leVen Juin 03, 2011 4:34 pm Répondre en citant

enchainement des faits : mise en scène, il y a une évolution et les faits s'enchaînent vite, très vite

on a l'arrivée des médecins de la cour
puis l'arrivée du 4ème médecin qui fait son diagnostic... Lol
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Prépabac, examen2017
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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leVen Juin 03, 2011 4:36 pm Répondre en citant

Jorgy a écrit:
Le progrès scientifique ? Je ne suis pas sûr.. Dans ce texte, les médecins avancent des hypothèses étranges quand même. Pareil pour les techniques employés pour le soigner.

Dites moi si je me trompe. Smile



progrès scientifique : médecin savant avec l'ex de l'Anglais contre l'obscurantisme des autres médecins

vas relire ton texte
Lol
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michel




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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leVen Juin 03, 2011 4:55 pm Répondre en citant

conseil d'un ami :

je pense que pour bien lire un texte, il faut souligner les idées importantes. Jocker Hello
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A très bientôt les amis du forum
Michel

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Ross,ami fidèle du forum




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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leVen Juin 03, 2011 5:06 pm Répondre en citant

L'administrateur a écrit:
Jorgy a écrit:
Le progrès scientifique ? Je ne suis pas sûr.. Dans ce texte, les médecins avancent des hypothèses étranges quand même. Pareil pour les techniques employés pour le soigner.

Dites moi si je me trompe. Smile



progrès scientifique : médecin savant avec l'ex de l'Anglais contre l'obscurantisme des autres médecins

vas relire ton texte
Lol



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christelle, STG




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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leVen Juin 03, 2011 6:13 pm Répondre en citant

A lire : Journal de Trévoux :

Les Mémoires pour servir à l’histoire des sciences et des arts, recueillis par l’ordre de S. A. S. Mgr prince souverain de la Dombes, plus connus sous le nom de Mémoires de Trévoux, et dont le nom le plus utilisé est Journal de Trévoux, sont un important recueil de critique littéraire, puis scientifique, historique, géographique, ethnologique et religieux, fondés par des jésuites en 1701 à Trévoux dans la principauté de Dombes, alors indépendante.


Aperçu historique

Dans une première période, le Journal de Trévoux exista jusqu’en 1767 et comprit 265 volumes in-12. Le prince Louis-Auguste de Bourbon, ayant transféré son parlement à Trévoux, en 1696, y établit une imprimerie considérable.

Les pères jésuites Michel Le Tellier et Jacques-Philippe Lallemant conseillèrent au prince de faire imprimer dans cette ville un journal littéraire, dont ils lui représentèrent les avantages. Ce projet dont l’objet devait être de donner « des extraits de tous les livres de sciences imprimés en France, en Espagne, en Italie, en Allemagne et dans les royaumes du Nord, en Hollande, en Angleterre, etc., en sorte que rien de ce qui s’imprime en Europe n’y soit oublié. On promet d’y insérer souvent des pièces manuscrites de critique, de littérature et de sciences, comme aussi toutes les nouvelles des lettres. » fut goûté et accepté, et la direction et composition du nouveau journal fut confiée aux jésuites, qui en commencèrent la publication avec l’année 1701.

Les principaux rédacteurs du Journal de Trévoux furent les pères jésuites Castel, qui y travailla trente ans, Du Cerceau, Brumoy, Charlevoix, Berthier, Catrou, Buffier, Mercier de Saint-Léger, Tournemine, Rouillé, Merlin, Marquet, Tellier, Germon, etc.

Dans leur épître dédicatoire, les auteurs disent au prince que l’imprimerie qu’il venait d’établir à Trévoux ne pouvait d’abord être mieux employée qu’à donner au public un état fidèle de tout ce qui paraît de curieux chaque jour dans le monde, en quelque genre de science que ce soit, mais quelques années plus tard, le journal se recentra sur la défense de la religion et le combat contre ses ennemis qui n’étaient plus les protestants, mais d’un côté les jansénistes parlementaires des Nouvelles ecclésiastiques, de l’autre le matérialisme militant d’auteurs réunies autour de l’Encyclopédie comme le baron d’Holbach. Cet objectif est clairement exprimé dans le numéro de janvier 1712 : « Le grand cours des journaux hérétiques fit naître à M. le duc du Maine l’idée d’un journal où l’on eût principalement en vue la défense de la religion, et il choisit les jésuites de Paris pour l’exécution de ce dessein. » Ceux-ci avaient déjà, d’ailleurs, laissé percer leur pensée dans leur premier avertissement, où ils annonçaient qu’ils ne prendraient point de parti dans leur journal, « excepté quand il s’agira de la religion, des bonnes mœurs ou de l’État, en quoi il n’est jamais permis d’être neutre. » Ce programme est réitéré, en janvier dans un autre avertissement 1708 : « Dans ce dessein où nous sommes d’attaquer sans ménagements les ennemis déclarés de la religion, et de démasquer ses ennemis cachés, nous devons nous attendre à tous les effets de leur ressentiment. Mais rien ne nous détournera de notre dessein. Appliqués à remplir les intentions de S. À. S., nous négligerons les plaintes injustes de ceux que nous n’aurons pas assez loués, et les mouvements de ceux qui voudront empêcher qu’on ne nous loue… Cependant la diversité de religion ne nous empêchera pas de rendre justice à l’esprit, à la doctrine et aux travaux des savants étrangers : nous haïssons l’erreur, il est vrai, mais non pas d’une haine aveugle, qui refuse de voir dans l’hérétique ce qu’il a d’estimable. » La polémique religieuse ne se substitua pas, mais s’associa dès lors aux critiques littéraires et aux compte-rendus scientifiques.

Pour s’être montrés constamment fidèles à cette pensée dominante de leur œuvre, les journalistes de Trévoux s’attirèrent, dès l’origine, les critiques les plus vives des philosophes ; on alla même, en Hollande, jusqu’à réimprimer leurs Mémoires dans le but « d’offrir aux auteurs qui croiraient avoir été maltraités un champ ouvert pour se défendre1. » Détestant cordialement toute la race des critiques, Voltaire ne pouvait manquer de figurer au nombre des adversaires les plus ardents des journalistes de Trévoux. Parmi ces derniers, il poursuivit plus particulièrement de ses sarcasmes le père Berthier, notamment dans sa Relation de la maladie, de la confession, de la mort et de l’apparition du jésuite Berthier.

Ce jésuite rédigea le Journal de Trévoux depuis 1745 jusqu’à la dissolution de l’ordre des jésuites. Cette carrière pénible et délicate lui suscita, surtout avec les encyclopédistes, des démêlés qui ne servirent qu’à donner un plus grand lustre à son mérite, par la modération qu’il mit dans ses défenses, et à accroître le succès de son journal. Voltaire lui décoche cette tirade dans le 3e chant de sa Pucelle :


O toi, Sottise ! 0 grosse déité, De qui les flancs à tout âge ont porté Plus de mortels que Cybèle féconde N’avait jadis donné de dieux au monde, Qu’avec plaisir ton grand œil hébété Voit tes enfants dont ma patrie abonde, Sots traducteurs, et sots compilateurs, Et sots auteurs, et non moins sots lecteurs ! Je t’interroge, 0 suprême puissance ! Daigne m’apprendre, en cette foule immense, De tes enfants qui sont les plus chéris, Les plus féconds en lourds et plats écrits. Les plus constants à broncher comme à braire À chaque pas dans la même carrière Ah ! je connais que tes soins les plus doux Sont pour l’auteur du Journal de Trévoux.


Article de wikipédia :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Journal_de_Tr%C3%A9voux

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Dionysos,forum2013




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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leVen Juin 03, 2011 6:43 pm Répondre en citant

Merci pour Jorgy : fameux exposé, c'est gentil à toi Hello

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Prépabac, examen2017
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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leVen Juin 03, 2011 9:07 pm Répondre en citant

Merci à tous pour votre participation et votre aide dans l'étude des textes à présenter au bac de français de Jorgy Lol
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Jorgy




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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leSam Juin 04, 2011 1:12 am Répondre en citant

Merci ! Je viens de rentrer chez moi, désolée de ne pas avoir été là. Smile
Je vous montrerais le commentaire final demain matin je pense. Là je n'ai pas le courage.. Smile

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bacfrancais, 2014




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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leSam Juin 04, 2011 8:32 am Répondre en citant

Ok on t'attend pour le commentaire au propre. Tu pourras ensuite poster ton troisième texte, aujourd'hui ou demain

A tout à l'heure

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Jorgy




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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leSam Juin 04, 2011 2:56 pm Répondre en citant

Voltaire a été l'un des plus prolifiques philosophe du 18e siècle, époque des lumières, en devenant chef du partie philosophique. Grand défendeur de la tolérence religieuse, il écrivit de nombreuses oeuvres pour affirmer ses opinions dont "Relation de la maladie, de la confession, de la mort, et de l'apparition de Jésuites", parut en 1759. Le titre de ce texte nous annonce les étapes que le personnage principal va traverser. On peut alors penser que Voltaire va critiquer à travers ces étapes de la mort vu par les catholiques la religion, un thème qui lui est chèr.
Annonce du plan.

Problématique : En quoi l'argumentation se met-elle au service de la dénonciation?

I. Une relation. ( suppose le fait d'un récit réel )

● Indices de réalité : Date précise "12 Octobre 1759", même année que l'écriture du texte, journal Tréloux ( réel )
● Contexte spécial : Paris, Versailles.
● Tableau de la cours ( beaucoup de personnel ), univers hiérarchisé. "frère Couture", "frère Berthier", des médecins de la cour, deux prêtres.
● Satire de la médecine de l'époque; les médecins ne veulent pas soigner n'importe qui, comme les jésuites. ( pourquoi ? )
● Référence à Mead et Boeurhaave dans un texte polémique : ces indices identifient clairement les cibles visées : l'ordre des jésuites, la cour, les médecins.
● C'est un pamphlet, court et virulent qui remet en cause l'ordre établi : les jésuites
● C'est un conte donc l'enchainement des faits est relativement rapide
L'intérêt est donc maintenu pour le lecteur par le narrateur.

Obstacle du récit : le diagnostic du médecin


II. Un texte satirique.

●Mise en scène:
Enchainement très rapide des faits; Berthier s'évanouit, les premiers médecins essayent de trouver le mal de Berthier en donnant des explication fantaisistes : "la vésicule du fiel, "la cervelle..était trop vide"
L'Etat du patient empire, vient alors l'arrivé du médecin principal, " qui avait étudié sous Mead et sous Boerhaave". Voltaire nous indique ici que c'est un médecin qui a des idées recus; il est contre les jésuites. D'ailleurs, il va brûler les deux douzaines d'exemplaires du Journal de Trévoux, qui est la cause du poison. ( Tableau ironique )
Frère Berthier va alors se sentir mieux, et pour le guérir, le médecin va utiliser un contre poison; une page de l'encyclopédie. ( Tableau ironique )
La raison des philosophes l'emportent sur l'obscurantisme et la bêtise des jésuites.

Voltaire prend une revanche contre les jésuites: il prend l'exemple du médecin anglais, il représente le progrès scientifique contre l'obscurantisme des trois médecins. Cet combat contre l'obscurantisme est un thème récurrent chez Voltaire.

● Choix des personnages: ( il n'y a plus rien à dire, si ? )


III. La progression du récit.

Une histoire démonstrative : même symbtome, même discours.
Mise en scène du bâillement qui se propage et qui enchaine la contamination de la maladie. Baillement, puis sueur froide, vertige, à du mal à articuler.
La mise en scène des symbtomes de la maladie les critiques de Versailles et sur les personnages. ( Pourquoi ? )
Berthier est frappé sur tous les organes du corps qu'il utilise pour faire du mal aux autres. Les médecins défilent, les premiers refusent de le soigner, le deuxième et le troisième trouvent des causes fantaisistes au mal de Berthier. Vient alors le Quatrième médecin, qui "en savait plus que les autres" et découvre le mal de Berthier, qui est en faite d'avoir porter sur les des exemplaires du Journal de Trévoux, qui est en fait un poison.

C'est un récit court pour être démonstratif. Présentation de la situation. ( en 7 lignes ) Berthier et Coutu vont vendre des exemplaires du Journal de Trévoux à Versaille, mais une fois arrivée, ils sont pris de fatigue, et finissent par s'évanouir.
Le narrateur ne donne que les détails importants, ce qui accélère la scène et donne l'impression que tout s'enchaine.
On voit tout de suite les personnages en action, en train de dialogué. ( Berthier et frère Couture )
Le narrateur ne donne que les détails importants pour la suite de l'histoire.
Rapide dialogue.
L'auteur procède par allusion, étape de la confession du malade. Série de petits dialogue qui révèle les tords de Berthier, "j'aime Dieu, et le prochain comme je peux" : Il est malade de « méchanceté »


Conclusion : Voltaire était déiste. Cela signifie qu'il croyait en une antité spirituelle sans pour autant adhérer à la religion révélée avec tout ce que cela suppose, c'est-à-dire, la confession, la prière ....
On peut donc affirmer que dans ce texte il encourage la foi sans pour autant sombrer dans les préjugés de la religion qu'il dénonce comme avec le "Journal de Trévoux" qui est cencé être la cause des douleurs du frère Berthier.
Ce texte dénonce ainsi l'ordre établit par les jésuites.

Ouverture; Est-ce que dans chacun de ses apologues Voltaire dénonce les mêmes choses ?

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Jorgy




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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leSam Juin 04, 2011 3:00 pm Répondre en citant

Avez-vous déjà fait un sujet, ou.. Une explication sur les jésuites ? Si oui, j'aimerais bien le lire car j'ai peur de ne pas tout comprendre.. Wink

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michel




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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leSam Juin 04, 2011 4:01 pm Répondre en citant

Jorgy a écrit:
Avez-vous déjà fait un sujet, ou.. Une explication sur les jésuites ? Si oui, j'aimerais bien le lire car j'ai peur de ne pas tout comprendre.. Wink



coucou

ton explication est bien, en voilà deux de faites, n'est -ce pas? J'espère que tu es satisfait, on t'a pour ainsi dire fait la première et on t'a fait travailler pour la seconde, pour ton bien!!

comme exposé tu as le journal de trévoux Jocker
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A très bientôt les amis du forum
Michel

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Prépabac, examen2017
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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leSam Juin 04, 2011 4:23 pm Répondre en citant

c'est bien, tu as bien travaillé, ce texte est plus difficile à comprendre que celui que l'on a fait en premier, c'est pourquoi j'ai préféré t'impliquer davantage, je pense que c'est une bonne chose, c'est ton bac, .... A TOI.....


Au travail, il faut étudier ces textes maintenant, on peut faire ton dernier texte de Voltaire demain si tu veux.

Si tu veux les entretiens relativement à ces trois textes, tu postes ta demande dans la rubrique "demander les questions" : l'oral du bac

Tiens moi au courant de tes choix Lol
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Jorgy




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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leSam Juin 04, 2011 5:07 pm Répondre en citant

Merci ! C'est vrai qu'il est compliqué. :p

Bon, je pense qu'il faudrait finir mon 3e texte, mais il est complet je pense.. J'aimerais quand même avoir votre avis. Smile

Ensuite.. Oui, je voudrais bien une aide pour l'orale. Smile

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Dionysos,forum2013




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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leSam Juin 04, 2011 5:11 pm Répondre en citant

Jorgy a écrit:
Merci ! C'est vrai qu'il est compliqué. :p

Bon, je pense qu'il faudrait finir mon 3e texte, mais il est complet je pense.. J'aimerais quand même avoir votre avis. Smile

Ensuite.. Oui, je voudrais bien une aide pour l'orale. Smile


coucou, on est là

pour ton troisième texte je pense qu'il faut faire nouveau message comme te l'avait conseillé l'administratrice et pour l'oral ll faut en faire la demande, il y en a pas mal en route. Fais la tout de suite.

A tout à l'heure. Pour ta dernière demande d'aide en ligne sur Voltaire, elle se terminera peut - être demain car nous ne sommes pas si nombreux aujourd'hui mais poste ton texte et ton explication, on verra et ensuite tu fais comme les autres, tu fais ta demandes, te trompe pas de rubrique Hello Fararo

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Prépabac, examen2017
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MessageSujet: Voltaire : Relation de la maladie, de la confession..  Posté leSam Juin 04, 2011 5:22 pm Répondre en citant

Dionysos a tout dit, à toi de gérer Lol
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